Lettre n° 4353
Par la grâce de D.ieu,
20 Iyar 5716,
Brooklyn,
A monsieur Avigdor(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné d’apprendre, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, a de bons comportements et multiplie les accomplissements positifs, le Rav Meïr Blizinski, que vous avez des problèmes de santé.
Je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Lorsqu’il vivait physiquement ici-bas, il était le berger d’Israël, empli d’amour pour chacun(2).
Mon beau-père, le Rabbi, citait le dicton suivant, au nom du Baal Chem Tov. On doit aimer également un Juif qui se trouve à l’autre extrémité du monde et que l’on n’a jamais vu. Combien plus est-ce le cas pour celui à qui la divine Providence a accordé la possibilité d’exercer son influence sur son entourage proche et même éloigné. Car, chaque amélioration de sa situation, physique ou morale, en est une également pour tous ceux qui le suivent. Et, de la sorte, elle se trouve multipliée par autant de personnes.
On peut en déduire également quel est le mérite d’un tel homme et sa responsabilité. Son mouvement, même le plus léger, se décuple par les conséquences qu’il reçoit, auprès de son entourage, de ses élèves et de ceux qui le suivent. J’ai donc bon espoir qu’à réception de la présente, vous irez mieux, au sens le plus littéral.
D.ieu, Qui sonde les cœurs, sait si vous avez pris la décision de changer les points dont nous nous sommes entretenus, lorsque vous vous trouviez ici et auxquels j’ai également fait allusion, dans ma lettre. Ceci intensifiera la bénédiction de “ Celui Qui guérit toute chair ”(3). De la sorte, vous aurez un prompt rétablissement.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous souhaitant une bonne santé, physique et morale.
Notes
(1) Monsieur A. Ha Méïri, de Ramat Gan.
(2) Il poursuit donc son œuvre de la même façon, à l’heure actuelle.
(3) Selon l’expression de la prière.
20 Iyar 5716,
Brooklyn,
A monsieur Avigdor(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné d’apprendre, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, a de bons comportements et multiplie les accomplissements positifs, le Rav Meïr Blizinski, que vous avez des problèmes de santé.
Je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Lorsqu’il vivait physiquement ici-bas, il était le berger d’Israël, empli d’amour pour chacun(2).
Mon beau-père, le Rabbi, citait le dicton suivant, au nom du Baal Chem Tov. On doit aimer également un Juif qui se trouve à l’autre extrémité du monde et que l’on n’a jamais vu. Combien plus est-ce le cas pour celui à qui la divine Providence a accordé la possibilité d’exercer son influence sur son entourage proche et même éloigné. Car, chaque amélioration de sa situation, physique ou morale, en est une également pour tous ceux qui le suivent. Et, de la sorte, elle se trouve multipliée par autant de personnes.
On peut en déduire également quel est le mérite d’un tel homme et sa responsabilité. Son mouvement, même le plus léger, se décuple par les conséquences qu’il reçoit, auprès de son entourage, de ses élèves et de ceux qui le suivent. J’ai donc bon espoir qu’à réception de la présente, vous irez mieux, au sens le plus littéral.
D.ieu, Qui sonde les cœurs, sait si vous avez pris la décision de changer les points dont nous nous sommes entretenus, lorsque vous vous trouviez ici et auxquels j’ai également fait allusion, dans ma lettre. Ceci intensifiera la bénédiction de “ Celui Qui guérit toute chair ”(3). De la sorte, vous aurez un prompt rétablissement.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous souhaitant une bonne santé, physique et morale.
Notes
(1) Monsieur A. Ha Méïri, de Ramat Gan.
(2) Il poursuit donc son œuvre de la même façon, à l’heure actuelle.
(3) Selon l’expression de la prière.