Lettre n° 4341
Par la grâce de D.ieu,
18 Iyar 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim
de Lod, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Iyar et vous avez sûrement reçu la mienne, qui faisait réponse à vos précédents courriers. Vous faites allusion au nombre des élèves et j’ai déjà longuement traité ce sujet, dans ma précédente lettre(1).
Je reviens donc uniquement sur le point essentiel. Mon avis est très clair, en la matière. L’éventualité, pour quelque raison que ce soit, de diminuer le nombre des élèves découle du fait que la direction(2) les(3) accepte avec parcimonie, depuis plusieurs années déjà.
Néanmoins, D.ieu, dans Sa grande miséricorde, accorde la possibilité de la Techouva et celle-ci est efficace également en la matière. Pour autant, elle doit être conforme à l’enseignement de la Torah, qui en donne, de manière générale, la définition suivante : “ Celui qui avait coutume d’étudier une page(4) doit en étudier deux(5) ”. Pour ce qui vous concerne, il faut donc augmenter la quantité des élèves et, bien évidemment, leur qualité.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
J’ai bien reçu vos lettres des 5 et 7 Iyar.
Quelles ont été les conséquences des visites(5) que vous avez mentionnées, c’est-à-dire celle des représentants des Etats Unis, dans votre lettre du 4 Adar et celle de monsieur Regev, dans votre lettre du 8 Nissan ?
Le problème du téléphone de l’école, à Kfar ‘Habad, est-il réglé ?
Concernant le premier paragraphe de votre lettre du 27 Nissan, j’ai maintes fois souligné qu’il doit y avoir des personnes de ‘Habad capables d’assumer des missions communautaires. Et, on doit les préparer à cela dès la Yechiva. Toutefois, d’après ce que vous décrivez de la discussion qu’il y a eu, à ce propos, il faut faire en sorte que l’on ne puisse penser que ceux-ci font opposition à toutes les Yechivot.
Il y a, dans le compte-rendu(6), une discussion sur la nécessité d’améliorer l’étude de la partie révélée de la Torah et il est demandé, à ce propos, si cela nuira à l’étude de la ‘Hassidout. Je suis étonné et peiné par ce doute. Il est bien évident qu’il faut monter le niveau et renforcer l’étude de la partie révélée de la Torah. Et, il est, en conséquence, nécessaire de nommer un recteur de la Yechiva. Mais, cela ne contredit nullement l’étude de la ‘Hassidout ou la ferveur de la prière. Je me contente de ces quelques lignes, car cette idée constitue une évidence absolue.
Vous me demandez à qui rembourser le coût du prêt qui vous a été consenti. Peu importe, bien évidemment, qui en est le garant et celui qui a contracté le prêt doit rembourser ces frais(7), au même titre que le capital proprement dit.
Notes
(1) Il s’agit de la lettre n°4319.
(2) De la Yechiva.
(3) Les élèves.
(4) Avant la faute.
(5) Après la Techouva.
(6) A la Yechiva.
(7) D’une réunion de la direction de la Yechiva.
(8) Voir, à ce sujet, la lettre n°4615.
18 Iyar 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim
de Lod, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Iyar et vous avez sûrement reçu la mienne, qui faisait réponse à vos précédents courriers. Vous faites allusion au nombre des élèves et j’ai déjà longuement traité ce sujet, dans ma précédente lettre(1).
Je reviens donc uniquement sur le point essentiel. Mon avis est très clair, en la matière. L’éventualité, pour quelque raison que ce soit, de diminuer le nombre des élèves découle du fait que la direction(2) les(3) accepte avec parcimonie, depuis plusieurs années déjà.
Néanmoins, D.ieu, dans Sa grande miséricorde, accorde la possibilité de la Techouva et celle-ci est efficace également en la matière. Pour autant, elle doit être conforme à l’enseignement de la Torah, qui en donne, de manière générale, la définition suivante : “ Celui qui avait coutume d’étudier une page(4) doit en étudier deux(5) ”. Pour ce qui vous concerne, il faut donc augmenter la quantité des élèves et, bien évidemment, leur qualité.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
J’ai bien reçu vos lettres des 5 et 7 Iyar.
Quelles ont été les conséquences des visites(5) que vous avez mentionnées, c’est-à-dire celle des représentants des Etats Unis, dans votre lettre du 4 Adar et celle de monsieur Regev, dans votre lettre du 8 Nissan ?
Le problème du téléphone de l’école, à Kfar ‘Habad, est-il réglé ?
Concernant le premier paragraphe de votre lettre du 27 Nissan, j’ai maintes fois souligné qu’il doit y avoir des personnes de ‘Habad capables d’assumer des missions communautaires. Et, on doit les préparer à cela dès la Yechiva. Toutefois, d’après ce que vous décrivez de la discussion qu’il y a eu, à ce propos, il faut faire en sorte que l’on ne puisse penser que ceux-ci font opposition à toutes les Yechivot.
Il y a, dans le compte-rendu(6), une discussion sur la nécessité d’améliorer l’étude de la partie révélée de la Torah et il est demandé, à ce propos, si cela nuira à l’étude de la ‘Hassidout. Je suis étonné et peiné par ce doute. Il est bien évident qu’il faut monter le niveau et renforcer l’étude de la partie révélée de la Torah. Et, il est, en conséquence, nécessaire de nommer un recteur de la Yechiva. Mais, cela ne contredit nullement l’étude de la ‘Hassidout ou la ferveur de la prière. Je me contente de ces quelques lignes, car cette idée constitue une évidence absolue.
Vous me demandez à qui rembourser le coût du prêt qui vous a été consenti. Peu importe, bien évidemment, qui en est le garant et celui qui a contracté le prêt doit rembourser ces frais(7), au même titre que le capital proprement dit.
Notes
(1) Il s’agit de la lettre n°4319.
(2) De la Yechiva.
(3) Les élèves.
(4) Avant la faute.
(5) Après la Techouva.
(6) A la Yechiva.
(7) D’une réunion de la direction de la Yechiva.
(8) Voir, à ce sujet, la lettre n°4615.