Lettre n° 4340
Par la grâce de D.ieu,
16 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 12 Iyar, dans laquelle vous me décrivez comment vous vous soumettez à l’étude de la Torah. Vous me dites, en fait, que vous n’avez pas de temps fixé, pour cette étude. Il est bien clair que ceci va à l’encontre de ce qui devrait être, en tout point qui vous concerne.
En effet, même lorsqu’il s’agit d’un homme de chair et d’os, on s’emploie, en pareil cas, à susciter sa bonne volonté, à lui faire plaisir, même si l’on n’est pas certain qu’il ait les moyens d’accéder à la requête formulée ou que ce plaisir le conduira à le faire. Combien plus doit-il en être ainsi quand il s’agit du Saint béni soit-Il, Qui dispose effectivement de ces moyens, Qui souhaite, tout particulièrement, ce plaisir. Je suis surpris de constater que des idées aussi évidentes doivent vous être écrites, d’un autre continent.
Il est tout aussi clair que ceci s’applique, de la même façon, à vos amis. Puisse D.ieu faire que vous trouviez les mots pour le leur expliquer, pour qu’ils le comprennent bien et, avant tout, pour qu’ils l’appliquent concrètement, en fixant cette étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, dans le temps et dans leur esprit. Lorsque quelqu’un se consacre à la Torah, ses affaires fructifient, qu’elles soient spirituelles ou matérielles, avec calme et largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction,
16 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 12 Iyar, dans laquelle vous me décrivez comment vous vous soumettez à l’étude de la Torah. Vous me dites, en fait, que vous n’avez pas de temps fixé, pour cette étude. Il est bien clair que ceci va à l’encontre de ce qui devrait être, en tout point qui vous concerne.
En effet, même lorsqu’il s’agit d’un homme de chair et d’os, on s’emploie, en pareil cas, à susciter sa bonne volonté, à lui faire plaisir, même si l’on n’est pas certain qu’il ait les moyens d’accéder à la requête formulée ou que ce plaisir le conduira à le faire. Combien plus doit-il en être ainsi quand il s’agit du Saint béni soit-Il, Qui dispose effectivement de ces moyens, Qui souhaite, tout particulièrement, ce plaisir. Je suis surpris de constater que des idées aussi évidentes doivent vous être écrites, d’un autre continent.
Il est tout aussi clair que ceci s’applique, de la même façon, à vos amis. Puisse D.ieu faire que vous trouviez les mots pour le leur expliquer, pour qu’ils le comprennent bien et, avant tout, pour qu’ils l’appliquent concrètement, en fixant cette étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, dans le temps et dans leur esprit. Lorsque quelqu’un se consacre à la Torah, ses affaires fructifient, qu’elles soient spirituelles ou matérielles, avec calme et largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction,