Lettre n° 4278
Par la grâce de D.ieu,
1er Iyar 5716,
Brooklyn,
A mon parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre liste des participants au Maamad(2), datant de Roch ‘Hodech Adar. Je suis surpris de ne pas avoir eu de vos nouvelles, depuis lors. Cela veut sûrement dire que tout va bien et qu’il en est de même pour les membres de votre famille.
Mais, puisse D.ieu faire que vous ne vous contentiez pas de cela, que vous mettiez en pratique l’Injonction consistant à connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Et, que s’accomplisse en vous la promesse de nos Sages selon laquelle “ à quiconque ajoute(3), on ajoute(4) ”.
Bien plus, vous apportez la Torah et les Mitsvot aux autres, en particulier à ceux qui ne possèdent rien par eux-mêmes. En pareil cas, D.ieu agit “ mesure pour mesure ”(5), mais d’une manière largement accrue, pour celui qui fait cet effort et pour tous les membres de sa famille.
Devant D.ieu, chacun est comme s’il ne possédait rien par lui-même. Or, ces jours sont propices, comme on l’a montré au cours d’une des réunions ‘hassidiques(6). Le mois du reflet(7) possède une vertu particulière, par rapport à tous les autres mois de l’année. Car, chacun de ses jours introduit une Mitsva spécifique, celle du compte de l’Omer.
De façon générale, ce compte s’adresse à l’animal, puisque l’Omer est une mesure d’orge, qui est une nourriture animale. Son but est de l’élever vers l’homme, correspondant aux deux pains qui sont offerts à Chavouot et faits de farine de blé, une nourriture des hommes, comme l’expliquent les discours ‘hassidique commentant le compte de l’Omer, en particulier dans le Likouteï Torah.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, de vous-même et de chacun des ‘Hassidim de votre ville,
Notes
(1) Le Rav C. Grossman, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°385.
(2) Fond de Tsedaka dont la distribution est confiée au Rabbi.
(3) Des efforts.
(4) Des bénédictions.
(5) De la manière dont on agit envers Lui.
(6) Voir, à ce sujet, la lettre n°478 et le Likouteï Si’hot, tome 1, page 263 et tome 12, page 171.
(7) Celui d’Iyar.
1er Iyar 5716,
Brooklyn,
A mon parent, le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Chmouel(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre liste des participants au Maamad(2), datant de Roch ‘Hodech Adar. Je suis surpris de ne pas avoir eu de vos nouvelles, depuis lors. Cela veut sûrement dire que tout va bien et qu’il en est de même pour les membres de votre famille.
Mais, puisse D.ieu faire que vous ne vous contentiez pas de cela, que vous mettiez en pratique l’Injonction consistant à connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Et, que s’accomplisse en vous la promesse de nos Sages selon laquelle “ à quiconque ajoute(3), on ajoute(4) ”.
Bien plus, vous apportez la Torah et les Mitsvot aux autres, en particulier à ceux qui ne possèdent rien par eux-mêmes. En pareil cas, D.ieu agit “ mesure pour mesure ”(5), mais d’une manière largement accrue, pour celui qui fait cet effort et pour tous les membres de sa famille.
Devant D.ieu, chacun est comme s’il ne possédait rien par lui-même. Or, ces jours sont propices, comme on l’a montré au cours d’une des réunions ‘hassidiques(6). Le mois du reflet(7) possède une vertu particulière, par rapport à tous les autres mois de l’année. Car, chacun de ses jours introduit une Mitsva spécifique, celle du compte de l’Omer.
De façon générale, ce compte s’adresse à l’animal, puisque l’Omer est une mesure d’orge, qui est une nourriture animale. Son but est de l’élever vers l’homme, correspondant aux deux pains qui sont offerts à Chavouot et faits de farine de blé, une nourriture des hommes, comme l’expliquent les discours ‘hassidique commentant le compte de l’Omer, en particulier dans le Likouteï Torah.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, de vous-même et de chacun des ‘Hassidim de votre ville,
Notes
(1) Le Rav C. Grossman, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°385.
(2) Fond de Tsedaka dont la distribution est confiée au Rabbi.
(3) Des efforts.
(4) Des bénédictions.
(5) De la manière dont on agit envers Lui.
(6) Voir, à ce sujet, la lettre n°478 et le Likouteï Si’hot, tome 1, page 263 et tome 12, page 171.
(7) Celui d’Iyar.