Lettre n° 4260
Par la grâce de D.ieu,
27 Nissan 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Perets(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 23 Nissan, dans laquelle vous me décrivez les réunions ‘hassidiques des jours favorables, dont j’avais obtenu des informations indirectes. Comme votre sort est heureux ! Vous avez le mérite d’être le canal, véhiculant l’encouragement pour les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva. Vous les rapprochez encore plus de leur source et de leur origine, de nos saints maîtres qui, jusqu’à maintenant, ont toujours assumé leur mission et continuent à le faire, invoquant la miséricorde divine pour tous ceux qui sont liés à eux, en toutes leurs préoccupations, en général et, plus spécifiquement pour ce qui concerne l’enseignement de la ‘Hassidout, ses pratiques et ses usages.
On peut en conclure à quel point celui qui fait porter son effort en ce sens leur(2) procure du plaisir. Et, il en recevra la récompense, matériellement et spirituellement, pour lui-même et pour tous les membres de sa famille.
Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez, à l’avenir, votre ascension dans le domaine de la Sainteté, conformément à l’enseignement de nos Sages. Vous le ferez en bonne santé, avec largesse d’esprit et succès.
Pour autant, tout cela ne vous dispense pas de vos autres activités, en particulier de vos fonctions rabbiniques. Certes, “ un prisonnier ne se libère pas…(3) ”. Néanmoins, il est différents moyens d’encourager ceux qui peuvent intervenir directement, en la matière. Vous devez donc avoir recours à une partie de ces moyens. Vous comprendrez ce que je veux dire.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin d’avoir un été en bonne santé et de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav P. Motchkin, de Montréal. Voir, à son sujet, la lettre n°3514.
(2) Aux maîtres de ‘Habad.
(3) Lui-même, mais doit l’être par ceux qui se trouvent à l’extérieur de la cellule.
27 Nissan 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Perets(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 23 Nissan, dans laquelle vous me décrivez les réunions ‘hassidiques des jours favorables, dont j’avais obtenu des informations indirectes. Comme votre sort est heureux ! Vous avez le mérite d’être le canal, véhiculant l’encouragement pour les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva. Vous les rapprochez encore plus de leur source et de leur origine, de nos saints maîtres qui, jusqu’à maintenant, ont toujours assumé leur mission et continuent à le faire, invoquant la miséricorde divine pour tous ceux qui sont liés à eux, en toutes leurs préoccupations, en général et, plus spécifiquement pour ce qui concerne l’enseignement de la ‘Hassidout, ses pratiques et ses usages.
On peut en conclure à quel point celui qui fait porter son effort en ce sens leur(2) procure du plaisir. Et, il en recevra la récompense, matériellement et spirituellement, pour lui-même et pour tous les membres de sa famille.
Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez, à l’avenir, votre ascension dans le domaine de la Sainteté, conformément à l’enseignement de nos Sages. Vous le ferez en bonne santé, avec largesse d’esprit et succès.
Pour autant, tout cela ne vous dispense pas de vos autres activités, en particulier de vos fonctions rabbiniques. Certes, “ un prisonnier ne se libère pas…(3) ”. Néanmoins, il est différents moyens d’encourager ceux qui peuvent intervenir directement, en la matière. Vous devez donc avoir recours à une partie de ces moyens. Vous comprendrez ce que je veux dire.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin d’avoir un été en bonne santé et de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav P. Motchkin, de Montréal. Voir, à son sujet, la lettre n°3514.
(2) Aux maîtres de ‘Habad.
(3) Lui-même, mais doit l’être par ceux qui se trouvent à l’extérieur de la cellule.