Lettre n° 4258
Par la grâce de D.ieu,
27 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné de lire votre lettre. Vous me décrivez, en effet, le changement intervenu dans l’éducation de ces jeunes filles(1). Et, ma peine est double, du fait du changement que vous évoquez dans votre courrier et surtout parce que l’on n’en connaît pas la raison, que l’on ne sait comment réparer.
Vous connaissez le dicton(2) de mon beau-père, le Rabbi, à propos de Pessa’h Chéni, selon lequel “ il n’est jamais trop tard ”. Puisse donc D.ieu faire qu’au moins maintenant, selon l’expression couramment employée par notre maître, “ on s’absorbe à l’éducation des jeunes filles aux valeurs sacrées ”, en étant tous unis, en coordonnant les actions dans le but d’accomplir la Volonté de notre Père Qui se trouve dans les cieux, d’éduquer des jeunes filles qui seront fidèles à D.ieu, à Sa Torah, Torah de vie et à Ses Mitsvot, sans compromis.
Il est bien évident que cette éducation leur apportera le bonheur véritable, non seulement dans le monde futur, mais également dans ce monde, celui de l’action. Ce bonheur sera spirituel et matériel à la fois. Pour l’heure, cela dépend des parents, qui ont toute l’attitude pour remédier à cette situation, de la meilleure façon. Tout est livré à leur volonté.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Qui ont vraisemblablement quitté l’école dirigée par le destinataire de cette lettre, du fait d’une dissension.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3484.
27 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné de lire votre lettre. Vous me décrivez, en effet, le changement intervenu dans l’éducation de ces jeunes filles(1). Et, ma peine est double, du fait du changement que vous évoquez dans votre courrier et surtout parce que l’on n’en connaît pas la raison, que l’on ne sait comment réparer.
Vous connaissez le dicton(2) de mon beau-père, le Rabbi, à propos de Pessa’h Chéni, selon lequel “ il n’est jamais trop tard ”. Puisse donc D.ieu faire qu’au moins maintenant, selon l’expression couramment employée par notre maître, “ on s’absorbe à l’éducation des jeunes filles aux valeurs sacrées ”, en étant tous unis, en coordonnant les actions dans le but d’accomplir la Volonté de notre Père Qui se trouve dans les cieux, d’éduquer des jeunes filles qui seront fidèles à D.ieu, à Sa Torah, Torah de vie et à Ses Mitsvot, sans compromis.
Il est bien évident que cette éducation leur apportera le bonheur véritable, non seulement dans le monde futur, mais également dans ce monde, celui de l’action. Ce bonheur sera spirituel et matériel à la fois. Pour l’heure, cela dépend des parents, qui ont toute l’attitude pour remédier à cette situation, de la meilleure façon. Tout est livré à leur volonté.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Qui ont vraisemblablement quitté l’école dirigée par le destinataire de cette lettre, du fait d’une dissension.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3484.