Lettre n° 4227
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, puis votre livre, les responsa Min’hat Its’hak. Je vous remercie beaucoup pour ce cadeau. Mon temps ne me permet pas de l’examiner comme il le faudrait, mais, en signe d’amitié, j’ai rédigé rapidement quelques notes, qui sont annexées à cette lettre. Et, nos Sages disent qu’au final, la paix règne(2).
A l’occasion de Pessa’h qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous souhaite et me souhaite une fête cachère et joyeuse, dont la joie se prolongera tout au long de l’année, conformément à l’affirmation du Ari Zal, citée par les commentateurs du Choul’han Arou’h, selon laquelle “ celui qui se préserve…(3) ” influence ainsi tout le reste de l’année.
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
M. Schneerson,
Dans les responsa, chapitre 1, paragraphe 1-2 : Si l’on emploie le mot ‘interdit’ sans autre précision, s’agit-il d’une interdiction permanente ou bien cette constance doit-elle être clairement affirmée ? Vous citez, plusieurs références et différents livres, à ce sujet.
Il semble que, parmi ces citations, une différence doive être faite entre la formulation des Sages, dans leurs enseignements ou leurs décisions hala’hiques et le langage courant. De même, il faut se demander si l’on doit supprimer une présomption de permission ou pas. Peut-être cette question est-elle évoquée dans les livres que vous citez et que je ne possède pas.
Chapitres 6 à 33, pour la Hala’ha relative à la belle-sœur et aux relations de la Yebama : Les responsa Marré Cohen, du Rav C. M. Adler, de Londres, troisième édition, traitent longuement de ce sujet et reproduisent également des lettres des grands Décisionnaires de la génération précédente, sur ce sujet.
Chapitre 65, sur la lecture de la Torah d’un jeûne public : Vous consulterez les responsa du Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 8, ses Pisskeï Dinim sur le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 566, le Sdeï ‘Hémed, partie “ coin du champ ”, recueil de lois, article “ trois semaines ”, chapitre 2, paragraphe 3, les responsa Tsafnat Paanéa’h, du Gaon de Ragatchov, tome 2, paragraphe 31.
Chapitre 83 : Ce point est discuté par le Moéd Kol ‘Haï, reproduit dans le recueil Dat Va Din du Rav Assaf, page 90.
Chapitre 89 : Pratiquement, dans la maison de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, conformément à une instruction de son père, le Rabbi Rachab et de ses prédécesseurs, la Mezouza est systématiquement placée en fonction de la position du gond(4), sauf pour la porte donnant vers l’extérieur.
Notes
(1) Le Rav I. Y. Weiss, de Manchester.
(2) Qu’un érudit ne tient pas rigueur à un autre des remarques qu’il peut formuler sur les explications qu’il a données.
(3) De la moindre quantité de ‘Hamets à Pessa’h est assuré de ne pas commettre de faute, tout au long de l’année.
(4) A droite dans le sens de l’ouverture de la porte. Voir, à ce sujet, le Séfer Ha Minhaguim ‘Habad, page 81, les lettres n°4237 et 4251.
13 Nissan 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, puis votre livre, les responsa Min’hat Its’hak. Je vous remercie beaucoup pour ce cadeau. Mon temps ne me permet pas de l’examiner comme il le faudrait, mais, en signe d’amitié, j’ai rédigé rapidement quelques notes, qui sont annexées à cette lettre. Et, nos Sages disent qu’au final, la paix règne(2).
A l’occasion de Pessa’h qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous souhaite et me souhaite une fête cachère et joyeuse, dont la joie se prolongera tout au long de l’année, conformément à l’affirmation du Ari Zal, citée par les commentateurs du Choul’han Arou’h, selon laquelle “ celui qui se préserve…(3) ” influence ainsi tout le reste de l’année.
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
M. Schneerson,
Dans les responsa, chapitre 1, paragraphe 1-2 : Si l’on emploie le mot ‘interdit’ sans autre précision, s’agit-il d’une interdiction permanente ou bien cette constance doit-elle être clairement affirmée ? Vous citez, plusieurs références et différents livres, à ce sujet.
Il semble que, parmi ces citations, une différence doive être faite entre la formulation des Sages, dans leurs enseignements ou leurs décisions hala’hiques et le langage courant. De même, il faut se demander si l’on doit supprimer une présomption de permission ou pas. Peut-être cette question est-elle évoquée dans les livres que vous citez et que je ne possède pas.
Chapitres 6 à 33, pour la Hala’ha relative à la belle-sœur et aux relations de la Yebama : Les responsa Marré Cohen, du Rav C. M. Adler, de Londres, troisième édition, traitent longuement de ce sujet et reproduisent également des lettres des grands Décisionnaires de la génération précédente, sur ce sujet.
Chapitre 65, sur la lecture de la Torah d’un jeûne public : Vous consulterez les responsa du Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 8, ses Pisskeï Dinim sur le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 566, le Sdeï ‘Hémed, partie “ coin du champ ”, recueil de lois, article “ trois semaines ”, chapitre 2, paragraphe 3, les responsa Tsafnat Paanéa’h, du Gaon de Ragatchov, tome 2, paragraphe 31.
Chapitre 83 : Ce point est discuté par le Moéd Kol ‘Haï, reproduit dans le recueil Dat Va Din du Rav Assaf, page 90.
Chapitre 89 : Pratiquement, dans la maison de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, conformément à une instruction de son père, le Rabbi Rachab et de ses prédécesseurs, la Mezouza est systématiquement placée en fonction de la position du gond(4), sauf pour la porte donnant vers l’extérieur.
Notes
(1) Le Rav I. Y. Weiss, de Manchester.
(2) Qu’un érudit ne tient pas rigueur à un autre des remarques qu’il peut formuler sur les explications qu’il a données.
(3) De la moindre quantité de ‘Hamets à Pessa’h est assuré de ne pas commettre de faute, tout au long de l’année.
(4) A droite dans le sens de l’ouverture de la porte. Voir, à ce sujet, le Séfer Ha Minhaguim ‘Habad, page 81, les lettres n°4237 et 4251.