Lettre n° 4218
Par la grâce de D.ieu,
9 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Nissan, de même que celle qui la précédait. D.ieu merci, vous avez célébré le mariage de votre fils, auquel D.ieu accordera longue vie, de la manière qui convient. Le mariage est la pierre d’angle et le commencement du foyer juif que bâtit le jeune couple, comme l’indique le texte de la bénédiction instaurée par les membres de la grande Assemblée : “ un édifice éternel ”, qui sera empli de joie, selon la conclusion de cette même bénédiction.
Vous et votre épouse concevrez d’eux et de tous vos enfants beaucoup de satisfaction véritable, de satisfaction juive et ‘hassidique.
J’ai lu, avec satisfaction, dans votre lettre, que vous multipliez le nombre de vos connaissances parmi les personnes qui sont issues de familles ‘hassidiques. Dernièrement, vous avez rencontré quelqu’un qui a un frère en Terre Sainte et vous voudrez bien les saluer également de ma part. Vous leur rappellerez que toute la Torah est vérité, ce qui est également le cas de l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ quand on décoche une flèche en l’air, elle retombe sur sa pointe ”. Ils doivent donc mettre en éveil les origines ‘Habad qu’ils portent en eux.
Combien plus en est-il ainsi à l’époque actuelle, alors que la flèche a été lancée en l’air bien au-delà de son altitude habituelle. Tout dépend donc de celui qui a subi ce mouvement et qui, de son côté, doit apporter sa contribution pour se rattacher à la pointe. Or, l’acte importe et non la théorie.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour toute votre famille,
9 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Nissan, de même que celle qui la précédait. D.ieu merci, vous avez célébré le mariage de votre fils, auquel D.ieu accordera longue vie, de la manière qui convient. Le mariage est la pierre d’angle et le commencement du foyer juif que bâtit le jeune couple, comme l’indique le texte de la bénédiction instaurée par les membres de la grande Assemblée : “ un édifice éternel ”, qui sera empli de joie, selon la conclusion de cette même bénédiction.
Vous et votre épouse concevrez d’eux et de tous vos enfants beaucoup de satisfaction véritable, de satisfaction juive et ‘hassidique.
J’ai lu, avec satisfaction, dans votre lettre, que vous multipliez le nombre de vos connaissances parmi les personnes qui sont issues de familles ‘hassidiques. Dernièrement, vous avez rencontré quelqu’un qui a un frère en Terre Sainte et vous voudrez bien les saluer également de ma part. Vous leur rappellerez que toute la Torah est vérité, ce qui est également le cas de l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ quand on décoche une flèche en l’air, elle retombe sur sa pointe ”. Ils doivent donc mettre en éveil les origines ‘Habad qu’ils portent en eux.
Combien plus en est-il ainsi à l’époque actuelle, alors que la flèche a été lancée en l’air bien au-delà de son altitude habituelle. Tout dépend donc de celui qui a subi ce mouvement et qui, de son côté, doit apporter sa contribution pour se rattacher à la pointe. Or, l’acte importe et non la théorie.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour toute votre famille,