Lettre n° 4206
Par la grâce de D.ieu,
7 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Adar, dont le cheminement a été retardé. Comme vous me le demandez, je citerai tous les noms que vous m’écrivez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en particulier celui de votre fils, auquel D.ieu accordera une longue vie, afin qu’il trouve, très prochainement, un parti qui soit bon pour lui, matériellement et spirituellement. Sans doute agirez-vous, dans ce domaine, en ayant recours aux voies de la nature. Ainsi, D.ieu vous accordera une réussite surnaturelle.
Il serait bon que votre fils étudie, chaque jour, l’enseignement profond de la Torah, qui en est l’âme et insuffle la vitalité à tout ce qui concerne l’homme, y compris la Torah et les Mitsvot, en général. Une telle étude est de nature à supprimer les voiles et les obstacles, comme l’explique un passage bien connu du Raya Méhemna, commenté par l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, dans Iguéret Ha Kodech, au chapitre 26.
De plus, il est du devoir d’un père de marier son fils. Il serait donc judicieux que vous-même, le père, fixiez une telle étude.
Et, comme vous le savez, cette étude doit être fixée à la fois dans le temps et dans l’âme.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse et pour donner de bonnes nouvelles,
7 Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Adar, dont le cheminement a été retardé. Comme vous me le demandez, je citerai tous les noms que vous m’écrivez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en particulier celui de votre fils, auquel D.ieu accordera une longue vie, afin qu’il trouve, très prochainement, un parti qui soit bon pour lui, matériellement et spirituellement. Sans doute agirez-vous, dans ce domaine, en ayant recours aux voies de la nature. Ainsi, D.ieu vous accordera une réussite surnaturelle.
Il serait bon que votre fils étudie, chaque jour, l’enseignement profond de la Torah, qui en est l’âme et insuffle la vitalité à tout ce qui concerne l’homme, y compris la Torah et les Mitsvot, en général. Une telle étude est de nature à supprimer les voiles et les obstacles, comme l’explique un passage bien connu du Raya Méhemna, commenté par l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, dans Iguéret Ha Kodech, au chapitre 26.
De plus, il est du devoir d’un père de marier son fils. Il serait donc judicieux que vous-même, le père, fixiez une telle étude.
Et, comme vous le savez, cette étude doit être fixée à la fois dans le temps et dans l’âme.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse et pour donner de bonnes nouvelles,