Lettre n° 4190
Par la grâce de D.ieu,
1er Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Adar et aux précédentes. Je n’éprouve aucune colère et je n’ai nul désir de vous écarter, ce qu’à D.ieu ne plaise. Je ne vous ai pas répondu uniquement du fait de mes nombreuses occupations, d’autant que, pour ce qui vous concerne, tout se passe bien, comme en attestent vos lettres. Et, il n’est pas aisé de donner, à distance, des instructions précises, surtout que la direction de cette institution est autonome.
Pour autant, je ne peux cacher que je suis peiné et surpris. Il est dit que “ l’on m’a chargé de garder les vignes ”, ce qui veut dire que, d’après la Torah, il s’agit bien de vignes, dans lesquelles il convient de travailler. Pour autant, on peut émettre une plainte en constatant que “ je n’ai pas gardé ma propre vigne ”. Or, il en est bien ainsi pour ce qui vous concerne et pour d’autres encore. Vous ne faites rien dans la vigne de ‘Habad. Vous aviez commencé à le faire et, pour différentes raisons, vous avez très vite cessé toute activité. Dans d’autres vignes, en revanche, vous travaillez, vous obtenez un résultat et vous êtes satisfait. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
J’ai été content de ce que vous me dites, concernant votre conférence aux femmes et jeunes filles ‘Habad. Vous en ferez de même, à l’avenir et vous multiplierez même de telles interventions. Nos Sages disent que l’on doit étudier le sujet que l’on souhaite et combien plus est-ce le cas pour ce qui concerne les femmes. Les conférences et les cours doivent donc les intéresser. Ainsi, en relativement peu de temps, vous pourrez approfondir ces concepts et les élargir.
La fête de Pessa’h approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction. Vous la célébrerez, avec les membres de votre famille, de manière cachère et joyeuse.
Avec ma bénédiction,
1er Nissan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Adar et aux précédentes. Je n’éprouve aucune colère et je n’ai nul désir de vous écarter, ce qu’à D.ieu ne plaise. Je ne vous ai pas répondu uniquement du fait de mes nombreuses occupations, d’autant que, pour ce qui vous concerne, tout se passe bien, comme en attestent vos lettres. Et, il n’est pas aisé de donner, à distance, des instructions précises, surtout que la direction de cette institution est autonome.
Pour autant, je ne peux cacher que je suis peiné et surpris. Il est dit que “ l’on m’a chargé de garder les vignes ”, ce qui veut dire que, d’après la Torah, il s’agit bien de vignes, dans lesquelles il convient de travailler. Pour autant, on peut émettre une plainte en constatant que “ je n’ai pas gardé ma propre vigne ”. Or, il en est bien ainsi pour ce qui vous concerne et pour d’autres encore. Vous ne faites rien dans la vigne de ‘Habad. Vous aviez commencé à le faire et, pour différentes raisons, vous avez très vite cessé toute activité. Dans d’autres vignes, en revanche, vous travaillez, vous obtenez un résultat et vous êtes satisfait. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
J’ai été content de ce que vous me dites, concernant votre conférence aux femmes et jeunes filles ‘Habad. Vous en ferez de même, à l’avenir et vous multiplierez même de telles interventions. Nos Sages disent que l’on doit étudier le sujet que l’on souhaite et combien plus est-ce le cas pour ce qui concerne les femmes. Les conférences et les cours doivent donc les intéresser. Ainsi, en relativement peu de temps, vous pourrez approfondir ces concepts et les élargir.
La fête de Pessa’h approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction. Vous la célébrerez, avec les membres de votre famille, de manière cachère et joyeuse.
Avec ma bénédiction,