Lettre n° 4168
Par la grâce de D.ieu,
18 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, dans laquelle vous évoquez votre état de santé et celui de votre fils.
Comme vous le savez, nos Sages affirment que les deux cent quarante huit Injonctions correspondent aux deux cent quarante huit membres du corps et les trois cent soixante cinq Interdits, aux trois cent soixante cinq nerfs. Ainsi, le corps juif, son fonctionnement et sa bonne santé dépendent de la spiritualité, c’est-à-dire de la pratique des Injonctions et du respect des Interdits.
Néanmoins, nous vivons dans un monde qui, par la Volonté du Créateur, est inférieur, matériel, semble être livré aux lois naturelles. Il faut donc, de différentes façons, se conformer à la nature. Ainsi, même s’il convient de mettre en pratique les prescriptions du médecin, puisque nos Sages disent qu’il a été autorisé à guérir, il faut aussi garder en permanence à l’esprit que le Créateur conduit chacun à l’existence, le vivifie.
Combien plus en est-il ainsi pour les enfants d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov, desquels il est dit : “ Vous êtes des fils pour l’Eternel votre D.ieu ”. D.ieu est l’Essence de la bonté et Il souhaite faire le bien. Il n’y a donc pas lieu d’être soucieux, ce qu’à D.ieu ne plaise. Car, on peut Le servir avec une joie intense et sincère.
Ce qui vient d’être dit s’applique à votre cas. Vous devez avoir la conviction que votre cœur est en éveil pour D.ieu, pour Sa Torah, pour Ses Mitsvot. Vous aurez de longs jours et d’agréables années. Mais, pour multiplier les bénédictions de D.ieu et votre réussite, vous devez multiplier le don de la Tsédaka aux autres, Tsédaka financière, au sens le plus littéral et Tsédaka physique, en les influençant, pour les rapprocher de la Torah et des Mitsvot. Car, rien ne résiste à la volonté.
Bien évidemment vous pouvez m’écrire quand vous le voulez et chaque fois que cela est nécessaire. Que D.ieu vous accorde le mérite et le succès de rédiger des lettres joyeuses, spirituellement et matériellement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
18 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, dans laquelle vous évoquez votre état de santé et celui de votre fils.
Comme vous le savez, nos Sages affirment que les deux cent quarante huit Injonctions correspondent aux deux cent quarante huit membres du corps et les trois cent soixante cinq Interdits, aux trois cent soixante cinq nerfs. Ainsi, le corps juif, son fonctionnement et sa bonne santé dépendent de la spiritualité, c’est-à-dire de la pratique des Injonctions et du respect des Interdits.
Néanmoins, nous vivons dans un monde qui, par la Volonté du Créateur, est inférieur, matériel, semble être livré aux lois naturelles. Il faut donc, de différentes façons, se conformer à la nature. Ainsi, même s’il convient de mettre en pratique les prescriptions du médecin, puisque nos Sages disent qu’il a été autorisé à guérir, il faut aussi garder en permanence à l’esprit que le Créateur conduit chacun à l’existence, le vivifie.
Combien plus en est-il ainsi pour les enfants d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov, desquels il est dit : “ Vous êtes des fils pour l’Eternel votre D.ieu ”. D.ieu est l’Essence de la bonté et Il souhaite faire le bien. Il n’y a donc pas lieu d’être soucieux, ce qu’à D.ieu ne plaise. Car, on peut Le servir avec une joie intense et sincère.
Ce qui vient d’être dit s’applique à votre cas. Vous devez avoir la conviction que votre cœur est en éveil pour D.ieu, pour Sa Torah, pour Ses Mitsvot. Vous aurez de longs jours et d’agréables années. Mais, pour multiplier les bénédictions de D.ieu et votre réussite, vous devez multiplier le don de la Tsédaka aux autres, Tsédaka financière, au sens le plus littéral et Tsédaka physique, en les influençant, pour les rapprocher de la Torah et des Mitsvot. Car, rien ne résiste à la volonté.
Bien évidemment vous pouvez m’écrire quand vous le voulez et chaque fois que cela est nécessaire. Que D.ieu vous accorde le mérite et le succès de rédiger des lettres joyeuses, spirituellement et matériellement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,