Lettre n° 4165
Par la grâce de D.ieu,
17 Adar 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav David Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de Chouchan Pourim, dans laquelle vous me faites part de l’incendie qui est survenu.
Vous savez sans doute ce que disent nos Sages, au traité Baba Batra 12b : “ Lorsque l’on fait du bien à quelqu’un(2), c’est pour de longs jours ”. C’est particulièrement vrai en pareil cas, comme l’explique le Dére’h Mitsvoté’ha, à la page 114b, qui rapporte les termes de l’Admour Hazaken, de même que les notes et références imprimées à la fin de ce livre.
Puisse D.ieu faire que ces bénédictions de nos maîtres s’accomplissent pleinement en vous.
Notes
(1) Le Rav D. M. Shulman. Voir, à son sujet, la lettre n°4022.
(2) Ce qui est le cas après un incendie.
4165*
Par la grâce de D.ieu,
17 Adar 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir les paquets de livres et je vous en remercie. Sans doute maintiendrez-vous cette pratique positive à l’avenir. Vous engagerez les autres ‘Hassidim à en faire de même et ils imiteront votre exemple. Bien évidemment, vous me direz tous les frais qui en résultent et ceux-ci vous seront remboursés au plus vite, avec mes remerciements.
Vous connaissez l’instruction que donna notre saint maître, le Rabbi Rachab, à ce sujet. Il est, en effet, nécessaire d’indiquer le montant de ces frais(2). De la sorte, nul ne pourra soulever d’objection par la suite. C’est ce qu’il répondit lui-même à l’un des ‘Hassidim, de grande stature, appartenant à la génération précédente et qui lui était attaché de tout son cœur et de toute son âme. Bien évidemment, c’est ce que fit cet homme et il conserva la même attitude, par la suite.
Avec ma bénédiction,
J’ai reçu, en leur temps, votre lettre et votre demande de bénédiction, à l’occasion de la Hilloula(3). Depuis, votre enseignement aux jeunes gens s’est sûrement développé, de même que la diffusion des sources(4), en général. Vous avez profité, pour cela, des jours de Pourim et vous en ferez de même pour Pessa’h, qui approche.
Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite et donniez de bonnes nouvelles.
Notes
(1) Le Rav M. Avtson, de Detroit. Voir, à son sujet, la lettre n°4248.
(2) Plutôt que de les prendre soi-même en charge.
(3) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(4) De la ‘Hassidout.
17 Adar 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav David Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de Chouchan Pourim, dans laquelle vous me faites part de l’incendie qui est survenu.
Vous savez sans doute ce que disent nos Sages, au traité Baba Batra 12b : “ Lorsque l’on fait du bien à quelqu’un(2), c’est pour de longs jours ”. C’est particulièrement vrai en pareil cas, comme l’explique le Dére’h Mitsvoté’ha, à la page 114b, qui rapporte les termes de l’Admour Hazaken, de même que les notes et références imprimées à la fin de ce livre.
Puisse D.ieu faire que ces bénédictions de nos maîtres s’accomplissent pleinement en vous.
Notes
(1) Le Rav D. M. Shulman. Voir, à son sujet, la lettre n°4022.
(2) Ce qui est le cas après un incendie.
4165*
Par la grâce de D.ieu,
17 Adar 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir les paquets de livres et je vous en remercie. Sans doute maintiendrez-vous cette pratique positive à l’avenir. Vous engagerez les autres ‘Hassidim à en faire de même et ils imiteront votre exemple. Bien évidemment, vous me direz tous les frais qui en résultent et ceux-ci vous seront remboursés au plus vite, avec mes remerciements.
Vous connaissez l’instruction que donna notre saint maître, le Rabbi Rachab, à ce sujet. Il est, en effet, nécessaire d’indiquer le montant de ces frais(2). De la sorte, nul ne pourra soulever d’objection par la suite. C’est ce qu’il répondit lui-même à l’un des ‘Hassidim, de grande stature, appartenant à la génération précédente et qui lui était attaché de tout son cœur et de toute son âme. Bien évidemment, c’est ce que fit cet homme et il conserva la même attitude, par la suite.
Avec ma bénédiction,
J’ai reçu, en leur temps, votre lettre et votre demande de bénédiction, à l’occasion de la Hilloula(3). Depuis, votre enseignement aux jeunes gens s’est sûrement développé, de même que la diffusion des sources(4), en général. Vous avez profité, pour cela, des jours de Pourim et vous en ferez de même pour Pessa’h, qui approche.
Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite et donniez de bonnes nouvelles.
Notes
(1) Le Rav M. Avtson, de Detroit. Voir, à son sujet, la lettre n°4248.
(2) Plutôt que de les prendre soi-même en charge.
(3) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(4) De la ‘Hassidout.