Lettre n° 4150
Par la grâce de D.ieu,
3 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Chevat, dans laquelle vous me faites part de vos doutes sur votre manière de vous habiller. En effet, vous ne savez pas si vous devez porter un vêtement long et un chapeau, votre famille s’y opposant.
Pour l’heure, vous êtes vous-même dans le doute, à ce sujet. Il ne faut donc pas vous dépêcher de prendre une décision, en la matière. Dans un premier temps, vous étudierez la Torah, en général, avec ardeur et flamme, la ‘Hassidout, en particulier, qui raffermit la crainte et l’amour de D.ieu. Puis, au bout d’un certain temps, vous vous poserez, de nouveau, cette question, en fonction de ce que sera alors votre situation.
Car, la décision de changer sa manière de s’habiller doit être prise avec détermination, afin d’écarter toute éventualité de retour à votre manière précédente de vous vêtir, du fait de la honte ou des moqueries. On peut vérifier, dans la pratique, qu’il y a là une des plus grandes épreuves. Les quatre parties du Tour et Choul’han Arou’h l’indiquent, qui commencent par : “ On n’aura pas honte devant les moqueurs ”. Vous consulterez ce texte.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
3 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Chevat, dans laquelle vous me faites part de vos doutes sur votre manière de vous habiller. En effet, vous ne savez pas si vous devez porter un vêtement long et un chapeau, votre famille s’y opposant.
Pour l’heure, vous êtes vous-même dans le doute, à ce sujet. Il ne faut donc pas vous dépêcher de prendre une décision, en la matière. Dans un premier temps, vous étudierez la Torah, en général, avec ardeur et flamme, la ‘Hassidout, en particulier, qui raffermit la crainte et l’amour de D.ieu. Puis, au bout d’un certain temps, vous vous poserez, de nouveau, cette question, en fonction de ce que sera alors votre situation.
Car, la décision de changer sa manière de s’habiller doit être prise avec détermination, afin d’écarter toute éventualité de retour à votre manière précédente de vous vêtir, du fait de la honte ou des moqueries. On peut vérifier, dans la pratique, qu’il y a là une des plus grandes épreuves. Les quatre parties du Tour et Choul’han Arou’h l’indiquent, qui commencent par : “ On n’aura pas honte devant les moqueurs ”. Vous consulterez ce texte.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,