Lettre n° 4141
Par la grâce de D.ieu,
28 Chevat 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav ‘Haïm Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, pour vous et pour les membres de votre famille. Celle-ci sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles de ce qui y est dit.
Il est sans doute inutile de vous préciser quel est le besoin du moment. Chacun, en particulier celui qui exerce une influence sur la jeunesse, un enseignant, un recteur de Yechiva, doit transmettre à ses disciples un esprit de crainte de D.ieu pure, d’amour de D.ieu, même si sa fonction officielle consiste à enseigner et non à susciter ces sentiments. A quelqu’un comme vous(2), il est sûrement inutile d’en dire plus.
Mon beau-père, le Rabbi a instauré trois études qui concernent chacun et portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Il s’agit de lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin, d’apprendre la Paracha du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, d’étudier le Tanya chaque jour, selon sa répartition annuelle. Il serait bon de garder ces études, au moins à l’avenir.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. A. Kahana, de Yafo.
(2) Le destinataire de cette lettre est, vraisemblablement, un recteur de Yechiva.
28 Chevat 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav ‘Haïm Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, pour vous et pour les membres de votre famille. Celle-ci sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles de ce qui y est dit.
Il est sans doute inutile de vous préciser quel est le besoin du moment. Chacun, en particulier celui qui exerce une influence sur la jeunesse, un enseignant, un recteur de Yechiva, doit transmettre à ses disciples un esprit de crainte de D.ieu pure, d’amour de D.ieu, même si sa fonction officielle consiste à enseigner et non à susciter ces sentiments. A quelqu’un comme vous(2), il est sûrement inutile d’en dire plus.
Mon beau-père, le Rabbi a instauré trois études qui concernent chacun et portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Il s’agit de lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin, d’apprendre la Paracha du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, d’étudier le Tanya chaque jour, selon sa répartition annuelle. Il serait bon de garder ces études, au moins à l’avenir.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. A. Kahana, de Yafo.
(2) Le destinataire de cette lettre est, vraisemblablement, un recteur de Yechiva.