Lettre n° 4136
Par la grâce de D.ieu,
27 Chevat 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il semble que vous vous paniquiez vous-même à propos de l’état de santé de votre épouse, à laquelle D.ieu accordera une longue vie.
Vous connaissez la signification de l’expression : “ Pour la faute que nous avons commise devant Toi par notre mauvais penchant ”. En effet, la maladie d’un corps juif provient des forces du mal. Mais, parfois, le mauvais penchant lui-même ne trouve pas l’aplomb et la ruse nécessaires pour obtenir un tel résultat. C’est alors l’homme qui s’affaiblit lui-même, sans fondement, sans justification.
Puisse D.ieu faire que vous commenciez à faire en sorte que votre cerveau domine votre cœur. L’Admour Hazaken affirme qu’il y a là une situation naturelle et innée, d’autant que la panique qui apparaît dans votre lettre semble totalement injustifiée.
Je vous joins une lettre pour votre épouse. Vous consulterez le médecin qui la suit pour déterminer s’il faut la lui donner tout de suite ou s’il est préférable d’attendre.
Avec ma bénédiction,
27 Chevat 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il semble que vous vous paniquiez vous-même à propos de l’état de santé de votre épouse, à laquelle D.ieu accordera une longue vie.
Vous connaissez la signification de l’expression : “ Pour la faute que nous avons commise devant Toi par notre mauvais penchant ”. En effet, la maladie d’un corps juif provient des forces du mal. Mais, parfois, le mauvais penchant lui-même ne trouve pas l’aplomb et la ruse nécessaires pour obtenir un tel résultat. C’est alors l’homme qui s’affaiblit lui-même, sans fondement, sans justification.
Puisse D.ieu faire que vous commenciez à faire en sorte que votre cerveau domine votre cœur. L’Admour Hazaken affirme qu’il y a là une situation naturelle et innée, d’autant que la panique qui apparaît dans votre lettre semble totalement injustifiée.
Je vous joins une lettre pour votre épouse. Vous consulterez le médecin qui la suit pour déterminer s’il faut la lui donner tout de suite ou s’il est préférable d’attendre.
Avec ma bénédiction,