Lettre n° 4130

[21 Chevat 5176]

Je fais réponse à votre lettre et à la demande de bénédiction qu’elle contenait.

Vous me décrivez votre situation et vous me dites qu’à votre sens, vous ne réussissez pas dans l’étude et vous n’avez pas le compagnon d’étude qu’il vous faudrait. Mon avis est très clair, je l’ai déjà écrit et je suis surpris que vous n’observiez pas la réalité. De tels arguments sont des stratagèmes du mauvais penchant, voulant vous détourner du chemin qui est droit pour vous, à la fois matériellement et spirituellement.

Vous évoquez l’état de santé de votre proche parente. Or, si l’on a mis en pratique ce qui était écrit dans ma précédente lettre, il est absolument certain que son état de santé a dû s’améliorer.

Que D.ieu vous accorde l’inspiration, afin d’observer la divine Providence, avec bonté et miséricorde, en tout ce qui vient d’être dit.