Lettre n° 4128
Par la grâce de D.ieu,
21 Chevat 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour de la Hilloula(1), avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Vous me dites que l’état de santé de votre épouse s’est un peu amélioré. Puisse D.ieu faire qu’elle ait une prompte guérison.
Vous me dites que votre travail vous prend du temps. Ceci évoque l’image d’un homme affamé, affaibli par la faim, qui prétendrait manger uniquement lorsqu’il se renforcera. Concernant cette fatigue, en effet, la Michna explique, au traité Avot, chapitre 3, Michna 5, que “ celui qui se soumet au joug de la Torah est délivré de celui des préoccupations du monde ”. Et, il en est de même en sens inverse(2).
En conséquence, si vous voulez réduire l’effort pour gagner votre vie, l’un des meilleurs moyens d’y parvenir est de se soumettre au joug de la Torah. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, de même que de votre participation, la plus intense possible, à la Yechiva.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(2) Celui qui se consacre à son travail est appelé à le faire de plus en plus.
21 Chevat 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour de la Hilloula(1), avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Vous me dites que l’état de santé de votre épouse s’est un peu amélioré. Puisse D.ieu faire qu’elle ait une prompte guérison.
Vous me dites que votre travail vous prend du temps. Ceci évoque l’image d’un homme affamé, affaibli par la faim, qui prétendrait manger uniquement lorsqu’il se renforcera. Concernant cette fatigue, en effet, la Michna explique, au traité Avot, chapitre 3, Michna 5, que “ celui qui se soumet au joug de la Torah est délivré de celui des préoccupations du monde ”. Et, il en est de même en sens inverse(2).
En conséquence, si vous voulez réduire l’effort pour gagner votre vie, l’un des meilleurs moyens d’y parvenir est de se soumettre au joug de la Torah. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, de même que de votre participation, la plus intense possible, à la Yechiva.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(2) Celui qui se consacre à son travail est appelé à le faire de plus en plus.