Lettre n° 4115
Par la grâce de D.ieu,
16 Chevat 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me posez les questions suivantes :
A) Le Or Ha Torah(2) du Tséma’h Tsédek, à la page 280b, dit que la prière du matin, correspondant au sacrifice perpétuel, est dite pendant les quatre premières heures du jour et le Chema Israël pendant ses trois premières heures, puisqu’il évoque le sacrifice des encens, duquel il est dit : “ Chaque matin ” et que ce dernier précède le sacrifice perpétuel.
Vous vous interrogez, à ce sujet, car la prière du matin, pendant du sacrifice perpétuel et prononcée pendant les quatre premières heures, remplace, en fait, l’aspersion, sur l’autel, du sang de ce sacrifice perpétuel, qui précédait le sacrifice des encens et de laquelle il est également dit : “ Chaque matin ”.
Je suis surpris que vous le présentiez comme une question, alors que tout ce que vous dites figure dans la note sur laquelle vous vous interrogez. Bien plus, une partie de ce discours ‘hassidique explique pourquoi l’aspersion du sang précède le sacrifice des encens et ce dernier, la combustion des membres de l’animal.
Pour en revenir à votre question proprement dite, vous ne comprenez pas, en fait, l’explication de nos Sages(3), rapportée par le traité Pessa’him 59b, selon laquelle : “ Seul le sacrifice des encens précède le sacrifice perpétuel ”. La nécessité de dire la prière pendant les quatre premières heures, alors que l’aspersion du sang précède le sacrifice des encens et que, à propos de l’un et l’autre, il est dit : “ Chaque jour ”, est , en effet, affirmé par le Talmud(4), sur lequel vous devez poser votre question et non sur ce discours ‘hassidique.
S’agissant de l’explication donnée par ce discours, on peut avancer qu’au sein de la prière, dans son ensemble, l’aspersion du sang est plus spécifiquement liée au Chema Israël, qui est une phase d’extase, d’enthousiasme, comparable à une flamme. La graisse et le sacrifice des encens, par contre, correspondent à la Amida, dite pendant ces quatre premières heures. La différence entre le Chema Israël et la Amida, précisée par plusieurs textes de la ‘Hassidout, permet de l’établir.
Il faut noter également que le sacrifice perpétuel durait une bonne heure, comme le dit la Michna, au début du chapitre “ le sacrifice perpétuel est offert… ”. Le sacrifice et l’aspersion du sang devaient être achevés avant que celui-ci coagule. Ce temps était donc très court et, en conséquence, la majeure partie de cette heure était consacrée aux préparatifs de l’offrande des membres et à cette offrande proprement dite, comme l’indiquent les chapitres 4 et 5 du traité Tamid.
La question ne se pose pas non plus dans sa dimension spirituelle. En effet, pour le sacrifice perpétuel du soir(5), le Chema Israël n’était pas récité, alors que l’aspersion du sang sur l’autel avait bien lieu. A ce propos, la Kabbala explique, et la ‘Hassidout le mentionne, que le Chema Israël du matin porte également sur la prière de Min’ha, comme le précise le Torah Or, au début de la Parchat Vaye’hi, à la page 45c.
B) Vous m’interrogez sur le discours ‘hassidique intitulé “ Le 25 Kislev ”, selon lequel les Attributs du sentiment reçoivent leur élévation par l’intermédiaire de celui de la découverte intellectuelle, ‘Ho’hma, car ils sont proches l’un de l’autre. A l’opposé, l’élévation des lettres constituant les pensées et les paroles émane de Kéter, la couronne qui surplombe l’enchaînement des mondes et, dans le service de D.ieu, correspond au don de soi.
Certes, il est deux formes du don de soi, celui du Chema Israël et celui du verset “ Béni soit le Nom de l’honneur de Sa Royauté pour l’éternité ”. Néanmoins, les lettres reçoivent l’élévation par le premier et non par le second. Vous en demandez la raison.
Celle-ci est précisée par différents textes. La seconde forme du don de soi est l’amour “ de toute ton âme ”, lié aux forces de l’intellect. On trouve, à ce propos, l’image d’un plat, c’est-à-dire d’un aliment dont le corps profite également, duquel n’émane pas uniquement une odeur. Pour apporter l’élévation aux lettres, qui proviennent de la phase antérieure de l’intellect, il faut faire intervenir la forme première de la compréhension ou même ce qui la dépasse, mais non ce qui lui fait suite, c’est-à-dire le service de D.ieu réfléchi. Pour plus de précisions, à ce sujet, vous consulterez les parties correspondantes du Chaareï Ora, de l’Admour Haémtsahi, en particulier les chapitres 9 et 10.
Il n’en est pas de même pour la première forme du don de soi et le sacrifice des encens, qui transcendent totalement la compréhension. De ce fait, les encens ne peuvent pas être mangés. Le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera et d’autres textes encore expliquent ce qui résulte de tout cela pour le service de D.ieu.
On peut peut-être avancer que l’équivalent du don de soi raisonné, dans la partie révélée de la Torah, est l’affirmation selon laquelle : “ Ton sang serait-il plus rouge que le mien ? ”(6).
Pour être complet, il faut ajouter que le sacrifice des encens de Yom Kippour, “ le plus fin ”, possède une immense qualité, que n’a pas celui de toute l’année, bien que l’un et l’autre soient une odeur. La différence entre eux est celle qui existe entre la narine droite et la narine gauche, de même qu’entre les deux parties les plus élevées de l’âme, ‘Haya et “ ‘Haya de ‘Haya ”(7), comme l’explique le Zohar, tome 3, page 130b. On retrouve cette même différence entre le don de soi de ‘Haya et le don de soi de Ye’hida, comme l’expliquent Atéret Roch, à la fin de la porte de Yom Kippour, le Kountrass Ha Avoda, au chapitre 5 et le discours ‘hassidique Le’h Le’ha de 5674(8).
On peut avancer qu’une même différence existe entre la Techouva de toute l’année et celle de Yom Kippour, lorsque “ l’essence même du jour apporte l’expiation ”.
C) Vous m’interrogez sur l’introduction du Chaareï Ora, à la page 2b, expliquant la valeur du sacrifice des dix martyrs, assassinés par les romains. Ce don de soi, en effet, fut parfait et la Torah ne fut pas sa seule motivation(9).
L’explication est bien simple. Ce don de soi n’est pas apprécié par rapport à celui de ‘Hanouka ou de Pourim, mais bien par rapport à celui du don de la Torah, même si l’on pourrait avancer qu’à ‘Hanouka, la prière est également intervenue(10), puisque le service de D.ieu, dans le Temple, était alors suspendu. Il n’en fut pas de même pour Rabbi ‘Hanina Ben Tradyon(11), qui fut brûlé en portant un Séfer Torah, mais, à mon sens, cette explication est très difficile à accepter.
La valeur du sacrifice des dix martyrs est expliquée également par le Ets ‘Haïm, portes 39 et 50. De fait, le début de ce texte dit, entre parenthèses, “ Le Ets ‘Haïm explique ” et peut-être fait-il allusion à ce passage.
D) Vous m’interrogez également sur le discours de ‘Hanouka qui est imprimé à la fin du Or Ha Torah. Il y a vraisemblablement là une erreur d’imprimerie et il s’agit, en fait du Dére’h Emouna. Vous me demandez qui est l’auteur de la note, à la page 10b, commençant par “ A mon humble avis, cela n’est pas exact ”.
Il semble que vous n’ayez pas vu la version de ce discours que nous avons imprimée, de manière indépendante, il y a quelques années, à l’occasion de ‘Hanouka. Il y est dit que le texte est de l’Admour Hazaken et les notes, du Tséma’h Tsédek. Néanmoins, ce discours a été retranscrit par ceux qui l’ont écouté et non rédigé par l’Admour Hazaken lui-même. La remarque du Tséma’h Tsédek s’applique donc à la retranscription.
On trouve aussi de telles notes du Tséma’h Tsédek dans un discours ‘hassidique imprimé dans le Likouteï Torah sur trois Parachyot, à la page 85c et dans quelques autres textes encore.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav I. Hutner. Voir, à son sujet, la lettre n°3833.
(2) Dans la partie consacrée à ‘Hanouka.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : “ Et, également, le verset, qui dit lui-même ‘chaque jour’, à propos du sacrifice des encens, alors que, pour l’aspersion du sang, cette expression est énoncée à une autre référence. Pour autant, elle a bien été appliquée au sang du sacrifice perpétuel, comme le souligne le traité Yoma 33b et ceci doit être remarqué ”.
(4) Le Rabbi note, en bas de page : “ Vous consulterez le traité Bera’hot 27a ”.
(5) Actuellement remplacé par la prière de Min’ha.
(6) Principe duquel on déduit que l’on n’a pas à mettre en danger sa propre vie pour sauver celle de son prochain. Ainsi, celui qui ne possède qu’un verre d’eau n’est pas tenu de le donner à l’homme qui a soif et, par la suite, d’endurer lui-même la soif.
(7) Ou Ye’hida.
(8) 1913, du Rabbi Rachab.
(9) Elle émana d’une relation directe avec le Créateur.
(10) En plus du don de soi.
(11) L’un des dix Sages assassinés par les Romains.
16 Chevat 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me posez les questions suivantes :
A) Le Or Ha Torah(2) du Tséma’h Tsédek, à la page 280b, dit que la prière du matin, correspondant au sacrifice perpétuel, est dite pendant les quatre premières heures du jour et le Chema Israël pendant ses trois premières heures, puisqu’il évoque le sacrifice des encens, duquel il est dit : “ Chaque matin ” et que ce dernier précède le sacrifice perpétuel.
Vous vous interrogez, à ce sujet, car la prière du matin, pendant du sacrifice perpétuel et prononcée pendant les quatre premières heures, remplace, en fait, l’aspersion, sur l’autel, du sang de ce sacrifice perpétuel, qui précédait le sacrifice des encens et de laquelle il est également dit : “ Chaque matin ”.
Je suis surpris que vous le présentiez comme une question, alors que tout ce que vous dites figure dans la note sur laquelle vous vous interrogez. Bien plus, une partie de ce discours ‘hassidique explique pourquoi l’aspersion du sang précède le sacrifice des encens et ce dernier, la combustion des membres de l’animal.
Pour en revenir à votre question proprement dite, vous ne comprenez pas, en fait, l’explication de nos Sages(3), rapportée par le traité Pessa’him 59b, selon laquelle : “ Seul le sacrifice des encens précède le sacrifice perpétuel ”. La nécessité de dire la prière pendant les quatre premières heures, alors que l’aspersion du sang précède le sacrifice des encens et que, à propos de l’un et l’autre, il est dit : “ Chaque jour ”, est , en effet, affirmé par le Talmud(4), sur lequel vous devez poser votre question et non sur ce discours ‘hassidique.
S’agissant de l’explication donnée par ce discours, on peut avancer qu’au sein de la prière, dans son ensemble, l’aspersion du sang est plus spécifiquement liée au Chema Israël, qui est une phase d’extase, d’enthousiasme, comparable à une flamme. La graisse et le sacrifice des encens, par contre, correspondent à la Amida, dite pendant ces quatre premières heures. La différence entre le Chema Israël et la Amida, précisée par plusieurs textes de la ‘Hassidout, permet de l’établir.
Il faut noter également que le sacrifice perpétuel durait une bonne heure, comme le dit la Michna, au début du chapitre “ le sacrifice perpétuel est offert… ”. Le sacrifice et l’aspersion du sang devaient être achevés avant que celui-ci coagule. Ce temps était donc très court et, en conséquence, la majeure partie de cette heure était consacrée aux préparatifs de l’offrande des membres et à cette offrande proprement dite, comme l’indiquent les chapitres 4 et 5 du traité Tamid.
La question ne se pose pas non plus dans sa dimension spirituelle. En effet, pour le sacrifice perpétuel du soir(5), le Chema Israël n’était pas récité, alors que l’aspersion du sang sur l’autel avait bien lieu. A ce propos, la Kabbala explique, et la ‘Hassidout le mentionne, que le Chema Israël du matin porte également sur la prière de Min’ha, comme le précise le Torah Or, au début de la Parchat Vaye’hi, à la page 45c.
B) Vous m’interrogez sur le discours ‘hassidique intitulé “ Le 25 Kislev ”, selon lequel les Attributs du sentiment reçoivent leur élévation par l’intermédiaire de celui de la découverte intellectuelle, ‘Ho’hma, car ils sont proches l’un de l’autre. A l’opposé, l’élévation des lettres constituant les pensées et les paroles émane de Kéter, la couronne qui surplombe l’enchaînement des mondes et, dans le service de D.ieu, correspond au don de soi.
Certes, il est deux formes du don de soi, celui du Chema Israël et celui du verset “ Béni soit le Nom de l’honneur de Sa Royauté pour l’éternité ”. Néanmoins, les lettres reçoivent l’élévation par le premier et non par le second. Vous en demandez la raison.
Celle-ci est précisée par différents textes. La seconde forme du don de soi est l’amour “ de toute ton âme ”, lié aux forces de l’intellect. On trouve, à ce propos, l’image d’un plat, c’est-à-dire d’un aliment dont le corps profite également, duquel n’émane pas uniquement une odeur. Pour apporter l’élévation aux lettres, qui proviennent de la phase antérieure de l’intellect, il faut faire intervenir la forme première de la compréhension ou même ce qui la dépasse, mais non ce qui lui fait suite, c’est-à-dire le service de D.ieu réfléchi. Pour plus de précisions, à ce sujet, vous consulterez les parties correspondantes du Chaareï Ora, de l’Admour Haémtsahi, en particulier les chapitres 9 et 10.
Il n’en est pas de même pour la première forme du don de soi et le sacrifice des encens, qui transcendent totalement la compréhension. De ce fait, les encens ne peuvent pas être mangés. Le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera et d’autres textes encore expliquent ce qui résulte de tout cela pour le service de D.ieu.
On peut peut-être avancer que l’équivalent du don de soi raisonné, dans la partie révélée de la Torah, est l’affirmation selon laquelle : “ Ton sang serait-il plus rouge que le mien ? ”(6).
Pour être complet, il faut ajouter que le sacrifice des encens de Yom Kippour, “ le plus fin ”, possède une immense qualité, que n’a pas celui de toute l’année, bien que l’un et l’autre soient une odeur. La différence entre eux est celle qui existe entre la narine droite et la narine gauche, de même qu’entre les deux parties les plus élevées de l’âme, ‘Haya et “ ‘Haya de ‘Haya ”(7), comme l’explique le Zohar, tome 3, page 130b. On retrouve cette même différence entre le don de soi de ‘Haya et le don de soi de Ye’hida, comme l’expliquent Atéret Roch, à la fin de la porte de Yom Kippour, le Kountrass Ha Avoda, au chapitre 5 et le discours ‘hassidique Le’h Le’ha de 5674(8).
On peut avancer qu’une même différence existe entre la Techouva de toute l’année et celle de Yom Kippour, lorsque “ l’essence même du jour apporte l’expiation ”.
C) Vous m’interrogez sur l’introduction du Chaareï Ora, à la page 2b, expliquant la valeur du sacrifice des dix martyrs, assassinés par les romains. Ce don de soi, en effet, fut parfait et la Torah ne fut pas sa seule motivation(9).
L’explication est bien simple. Ce don de soi n’est pas apprécié par rapport à celui de ‘Hanouka ou de Pourim, mais bien par rapport à celui du don de la Torah, même si l’on pourrait avancer qu’à ‘Hanouka, la prière est également intervenue(10), puisque le service de D.ieu, dans le Temple, était alors suspendu. Il n’en fut pas de même pour Rabbi ‘Hanina Ben Tradyon(11), qui fut brûlé en portant un Séfer Torah, mais, à mon sens, cette explication est très difficile à accepter.
La valeur du sacrifice des dix martyrs est expliquée également par le Ets ‘Haïm, portes 39 et 50. De fait, le début de ce texte dit, entre parenthèses, “ Le Ets ‘Haïm explique ” et peut-être fait-il allusion à ce passage.
D) Vous m’interrogez également sur le discours de ‘Hanouka qui est imprimé à la fin du Or Ha Torah. Il y a vraisemblablement là une erreur d’imprimerie et il s’agit, en fait du Dére’h Emouna. Vous me demandez qui est l’auteur de la note, à la page 10b, commençant par “ A mon humble avis, cela n’est pas exact ”.
Il semble que vous n’ayez pas vu la version de ce discours que nous avons imprimée, de manière indépendante, il y a quelques années, à l’occasion de ‘Hanouka. Il y est dit que le texte est de l’Admour Hazaken et les notes, du Tséma’h Tsédek. Néanmoins, ce discours a été retranscrit par ceux qui l’ont écouté et non rédigé par l’Admour Hazaken lui-même. La remarque du Tséma’h Tsédek s’applique donc à la retranscription.
On trouve aussi de telles notes du Tséma’h Tsédek dans un discours ‘hassidique imprimé dans le Likouteï Torah sur trois Parachyot, à la page 85c et dans quelques autres textes encore.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav I. Hutner. Voir, à son sujet, la lettre n°3833.
(2) Dans la partie consacrée à ‘Hanouka.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : “ Et, également, le verset, qui dit lui-même ‘chaque jour’, à propos du sacrifice des encens, alors que, pour l’aspersion du sang, cette expression est énoncée à une autre référence. Pour autant, elle a bien été appliquée au sang du sacrifice perpétuel, comme le souligne le traité Yoma 33b et ceci doit être remarqué ”.
(4) Le Rabbi note, en bas de page : “ Vous consulterez le traité Bera’hot 27a ”.
(5) Actuellement remplacé par la prière de Min’ha.
(6) Principe duquel on déduit que l’on n’a pas à mettre en danger sa propre vie pour sauver celle de son prochain. Ainsi, celui qui ne possède qu’un verre d’eau n’est pas tenu de le donner à l’homme qui a soif et, par la suite, d’endurer lui-même la soif.
(7) Ou Ye’hida.
(8) 1913, du Rabbi Rachab.
(9) Elle émana d’une relation directe avec le Créateur.
(10) En plus du don de soi.
(11) L’un des dix Sages assassinés par les Romains.