Lettre n° 4054
Par la grâce de D.ieu,
25 Tévet 5716,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav P.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre du 21 Kislev, depuis quelques temps et ma réponse a été retardée, du fait de mes nombreuses occupations.
Concernant la construction(2), vous évoquez la possibilité d’aménager une grande cuisine, selon le plan d’origine, mais sans l’enduire et sans l’aménager, afin de se maintenir dans le cadre de la subvention réduite qui a été accordée. J’en suis surpris, car j’ai écrit clairement que le plan d’origine devait être intégralement réalisé et que je trouverai le financement complémentaire, s’il n’y avait pas d’autre solution, en demandant aux ‘Hassidim de Terre Sainte d’organiser une collecte spécifique afin de réunir cette somme. Je suis sûr que cela s’arrangera de la meilleure façon. Vous me direz pour quand est nécessaire ce financement complémentaire. De mon côté, je m’arrangerai pour organiser cette collecte suffisamment tôt.
Je suis surpris que vous évoquiez le 19 Kislev, plus précisément la fête qui a eu lieu, en ce jour lumineux, au Kfar(3), d’une manière aussi brève. Vous préférez vous en remettre aux autres. J’ai déjà écrit aux ‘Hassidim que, du fait de nos nombreuses fautes, nous recevons, en grand nombre, des lettres rapportant tout ce qui fait de la peine. Puis, quand il y a une nouvelle réjouissante, celle-ci devient “ la marmite des associés(4) ”. Aussitôt, chacun devient humble et préfère laisser à son ami l’honneur de rédiger la lettre. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Notes
(1) Le Rav Pin’has Althaus, de Tel Aviv. Voir, à son sujet, la lettre n°3908.
(2) Du réfectoire de l’école professionnelle. Voir, à ce sujet, la lettre n°3919.
(3) Kfar ‘Habad.
(4) Chacun s’en remettant à l’autre pour la communiquer.
25 Tévet 5716,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav P.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre du 21 Kislev, depuis quelques temps et ma réponse a été retardée, du fait de mes nombreuses occupations.
Concernant la construction(2), vous évoquez la possibilité d’aménager une grande cuisine, selon le plan d’origine, mais sans l’enduire et sans l’aménager, afin de se maintenir dans le cadre de la subvention réduite qui a été accordée. J’en suis surpris, car j’ai écrit clairement que le plan d’origine devait être intégralement réalisé et que je trouverai le financement complémentaire, s’il n’y avait pas d’autre solution, en demandant aux ‘Hassidim de Terre Sainte d’organiser une collecte spécifique afin de réunir cette somme. Je suis sûr que cela s’arrangera de la meilleure façon. Vous me direz pour quand est nécessaire ce financement complémentaire. De mon côté, je m’arrangerai pour organiser cette collecte suffisamment tôt.
Je suis surpris que vous évoquiez le 19 Kislev, plus précisément la fête qui a eu lieu, en ce jour lumineux, au Kfar(3), d’une manière aussi brève. Vous préférez vous en remettre aux autres. J’ai déjà écrit aux ‘Hassidim que, du fait de nos nombreuses fautes, nous recevons, en grand nombre, des lettres rapportant tout ce qui fait de la peine. Puis, quand il y a une nouvelle réjouissante, celle-ci devient “ la marmite des associés(4) ”. Aussitôt, chacun devient humble et préfère laisser à son ami l’honneur de rédiger la lettre. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Notes
(1) Le Rav Pin’has Althaus, de Tel Aviv. Voir, à son sujet, la lettre n°3908.
(2) Du réfectoire de l’école professionnelle. Voir, à ce sujet, la lettre n°3919.
(3) Kfar ‘Habad.
(4) Chacun s’en remettant à l’autre pour la communiquer.