Lettre n° 4026
Par la grâce de D.ieu,
12 Tévet 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Dov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 8 Tévet, dans laquelle vous m’indiquez que vous avez eu la possibilité de mettre en place un office quotidien, dans votre synagogue, depuis ‘Hanouka. Certes, vous avez affronté quelques difficultés, mais nos Sages disent que tous les débuts sont difficiles(2). D’après ce que vous écrivez, cette affirmation s’est pleinement réalisée, en l’occurrence. Il en sera donc de même par le fait que cette précision est donnée uniquement à propos du début(3).
On sait que le début et la fin d’un processus en sont le premier et le dernier points. Ces deux termes, en revanche, ne décrivent pas tous les stades intermédiaires. Or, un effort, somme toute, limité, vous a permis d’obtenir un tel résultat. Vous pouvez donc en conclure ce que celui-ci sera quand l’effort qui convient sera réalisé.
Ce qui vient d’être dit vous permettra de comprendre la satisfaction que m’a procurée votre intervention pour que les femmes et les jeunes filles fréquentent également la prière, pendant le Chabbat, d’autant que c’est aussi un moyen de mettre en pratique l’Injonction : “ Ecarte-toi du mal ”. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Vous distribuez des gâteaux à l’issue de l’office et cela est une bonne chose. Il serait judicieux de faire en sorte également que l’un des membres de la communauté capables de le faire dise, à chaque fois, quelques mots, pendant cinq ou dix minutes.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour pouvoir acheter une bonne maison, matérielle et spirituelle. Vous consulterez également, à ce sujet, la fin de la séquence de discours ‘hassidiques intitulé “ De nombreuses eaux ”(4).
Notes
(1) Le Rav A. D. Hecht, de New York. Voir, à son sujet, la lettre n°3973.
(2) Mais non la suite.
(3) Tout deviendra donc facile ensuite.
(4) Du Rabbi Maharach, grand-père du précédent Rabbi.
12 Tévet 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Dov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 8 Tévet, dans laquelle vous m’indiquez que vous avez eu la possibilité de mettre en place un office quotidien, dans votre synagogue, depuis ‘Hanouka. Certes, vous avez affronté quelques difficultés, mais nos Sages disent que tous les débuts sont difficiles(2). D’après ce que vous écrivez, cette affirmation s’est pleinement réalisée, en l’occurrence. Il en sera donc de même par le fait que cette précision est donnée uniquement à propos du début(3).
On sait que le début et la fin d’un processus en sont le premier et le dernier points. Ces deux termes, en revanche, ne décrivent pas tous les stades intermédiaires. Or, un effort, somme toute, limité, vous a permis d’obtenir un tel résultat. Vous pouvez donc en conclure ce que celui-ci sera quand l’effort qui convient sera réalisé.
Ce qui vient d’être dit vous permettra de comprendre la satisfaction que m’a procurée votre intervention pour que les femmes et les jeunes filles fréquentent également la prière, pendant le Chabbat, d’autant que c’est aussi un moyen de mettre en pratique l’Injonction : “ Ecarte-toi du mal ”. Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Vous distribuez des gâteaux à l’issue de l’office et cela est une bonne chose. Il serait judicieux de faire en sorte également que l’un des membres de la communauté capables de le faire dise, à chaque fois, quelques mots, pendant cinq ou dix minutes.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour pouvoir acheter une bonne maison, matérielle et spirituelle. Vous consulterez également, à ce sujet, la fin de la séquence de discours ‘hassidiques intitulé “ De nombreuses eaux ”(4).
Notes
(1) Le Rav A. D. Hecht, de New York. Voir, à son sujet, la lettre n°3973.
(2) Mais non la suite.
(3) Tout deviendra donc facile ensuite.
(4) Du Rabbi Maharach, grand-père du précédent Rabbi.