Lettre n° 4006
Par la grâce de D.ieu,
3 Tévet 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je suis un peu surpris de ne plus avoir de vos nouvelles depuis la fin de ‘Hechvan. Puisse D.ieu faire que ce soit un bon signe, indiquant que tout va bien. ‘Hanouka vient de s’achever. Or, l’un des enseignements de cette fête est le fait que la Hala’ha retient l’avis de Beth Hillel, selon lequel on doit aller croissant(1), car un ajout est nécessaire, dans le domaine de la Sainteté. Ce principe doit donc s’appliquer également à votre action. Je vous remercie pour les nouvelles bonnes et détaillées que vous me transmettrez.
Vous me dites que l’on ne vous propose aucun parti(2) qui vous convienne et que vous n’avez aucun moyen d’agir. Il est clair que ces deux idées doivent être rejetées. Nos Sages disent que “ les filles juives sont belles ”, ce qui s’entend à la fois physiquement et moralement(3).
Il faut donc agir comme le font, en la matière, tous les jeunes gens qui craignent la Parole de D.ieu, c’est-à-dire en faisant intervenir un intermédiaire. Je vous l’ai déjà écrit plusieurs fois, mais il semble que vous manquiez d’empressement, en la matière.
Comme le veut à la nature humaine, plus votre nonchalance se prolongera dans le temps et plus il sera difficile de vous en défaire. Néanmoins, vous êtes tenu de mettre en pratique l’enseignement de nos Sages selon lequel un homme recherche(4) comme il le ferait pour ce qu’il a perdu.
Les propos de la Torah ne sont pas de belles figures de style. Ils décrivent précisément ce à quoi ils s’appliquent. Sachez donc qu’il s’agit, en l’occurrence, de ce que vous avez perdu et chaque jour qui passe sans que vous l’ayez retrouvé introduit, d’une certaine façon, le manque.
Nos Sages expliquent tout cela longuement, dans le traité Yebamot : “ Quiconque reste…(5) ”. J’attends de vos bonnes nouvelles, le plus rapidement possible.
Notes
(1) Dans le nombre de bougies que l’on allume.
(2) Pour se marier.
(3) Il n’y a donc pas lieu de penser qu’un Juif a un défaut.
(4) Une épouse.
(5) Sans épouse ne peut être joyeux.
3 Tévet 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je suis un peu surpris de ne plus avoir de vos nouvelles depuis la fin de ‘Hechvan. Puisse D.ieu faire que ce soit un bon signe, indiquant que tout va bien. ‘Hanouka vient de s’achever. Or, l’un des enseignements de cette fête est le fait que la Hala’ha retient l’avis de Beth Hillel, selon lequel on doit aller croissant(1), car un ajout est nécessaire, dans le domaine de la Sainteté. Ce principe doit donc s’appliquer également à votre action. Je vous remercie pour les nouvelles bonnes et détaillées que vous me transmettrez.
Vous me dites que l’on ne vous propose aucun parti(2) qui vous convienne et que vous n’avez aucun moyen d’agir. Il est clair que ces deux idées doivent être rejetées. Nos Sages disent que “ les filles juives sont belles ”, ce qui s’entend à la fois physiquement et moralement(3).
Il faut donc agir comme le font, en la matière, tous les jeunes gens qui craignent la Parole de D.ieu, c’est-à-dire en faisant intervenir un intermédiaire. Je vous l’ai déjà écrit plusieurs fois, mais il semble que vous manquiez d’empressement, en la matière.
Comme le veut à la nature humaine, plus votre nonchalance se prolongera dans le temps et plus il sera difficile de vous en défaire. Néanmoins, vous êtes tenu de mettre en pratique l’enseignement de nos Sages selon lequel un homme recherche(4) comme il le ferait pour ce qu’il a perdu.
Les propos de la Torah ne sont pas de belles figures de style. Ils décrivent précisément ce à quoi ils s’appliquent. Sachez donc qu’il s’agit, en l’occurrence, de ce que vous avez perdu et chaque jour qui passe sans que vous l’ayez retrouvé introduit, d’une certaine façon, le manque.
Nos Sages expliquent tout cela longuement, dans le traité Yebamot : “ Quiconque reste…(5) ”. J’attends de vos bonnes nouvelles, le plus rapidement possible.
Notes
(1) Dans le nombre de bougies que l’on allume.
(2) Pour se marier.
(3) Il n’y a donc pas lieu de penser qu’un Juif a un défaut.
(4) Une épouse.
(5) Sans épouse ne peut être joyeux.