Lettre n° 3996
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim, à Lod,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos lettres des 21 et 24 Kislev, avec ce qu’elles contenaient. Vous me demandez s’il y a lieu d’ajouter un autre nom(1) à la Yechiva, en plus de celui qu’elle porte, Tom’heï Temimim ou bien A’heï Temimim.
Ces noms, qui sont essentiels, ont été choisis par nos saints maîtres. Or, il existe des dizaines de Yechivot et l’on n’a jamais entendu qu’un autre nom ait été ajouté à celui qu’elles portent. Je ne comprends donc pas pourquoi telle personne(2) doit être la première à envisager un tel changement.
Bien plus, le nom Israël peut être donné à autre chose, à des livres, à un bâtiment. De fait, d’après la partie révélée de la Torah, en ajoutant un deuxième nom, on ne conserve pas le premier et le second, de manière indépendante, mais l’on associe l’un et l’autre pour former un nom nouveau. On peut le déduire de ce qui est dit des noms d’une belle-fille et d’une belle-mère(3), dans les responsa Tséma’h Tsédek, Even Ha Ezer, fin de la première partie.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) En l’occurrence, vraisemblablement celui d’un donateur, s’appelant Israël.
(2) Le donateur.
(3) L’une et l’autre ne peuvent avoir le même prénom. Mais, si l’une des deux possède, en outre, un second prénom, rien ne devra alors être modifié.
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim, à Lod,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos lettres des 21 et 24 Kislev, avec ce qu’elles contenaient. Vous me demandez s’il y a lieu d’ajouter un autre nom(1) à la Yechiva, en plus de celui qu’elle porte, Tom’heï Temimim ou bien A’heï Temimim.
Ces noms, qui sont essentiels, ont été choisis par nos saints maîtres. Or, il existe des dizaines de Yechivot et l’on n’a jamais entendu qu’un autre nom ait été ajouté à celui qu’elles portent. Je ne comprends donc pas pourquoi telle personne(2) doit être la première à envisager un tel changement.
Bien plus, le nom Israël peut être donné à autre chose, à des livres, à un bâtiment. De fait, d’après la partie révélée de la Torah, en ajoutant un deuxième nom, on ne conserve pas le premier et le second, de manière indépendante, mais l’on associe l’un et l’autre pour former un nom nouveau. On peut le déduire de ce qui est dit des noms d’une belle-fille et d’une belle-mère(3), dans les responsa Tséma’h Tsédek, Even Ha Ezer, fin de la première partie.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) En l’occurrence, vraisemblablement celui d’un donateur, s’appelant Israël.
(2) Le donateur.
(3) L’une et l’autre ne peuvent avoir le même prénom. Mais, si l’une des deux possède, en outre, un second prénom, rien ne devra alors être modifié.