Lettre n° 3995
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Kislev, dans laquelle vous me dites que vous avez consulté un livre faisant état de différentes pratiques bénéfiques et traitant, en particulier des lignes de la main.
Abandonnez donc tout cela ! Si vous recherchez réellement des pratiques bénéfiques, il en est une qui a fait ses preuves, c’est notre sainte Torah. Et, il en existe également une autre, la Sagesse de D.ieu, à Laquelle on peut s’unir en étudiant la Torah. On réalise ainsi l’union extraordinaire avec D.ieu, décrite au chapitre 5 du Tanya, que vous consulterez.
Il est dit que “ tu seras intègre envers l’Eternel ton D.ieu ” et, selon certains, pour le Ramban, par exemple, ce Précepte fait même partie des six cent treize Mitsvot de la Torah.
Vous me dites que vos actions, au sein des jeunes de l’association ‘Habad, sont pratiquement inexistantes, car vous n’êtes pas qualifié pour les réaliser et, en outre, votre état de santé ne vous le permet pas. Ces deux explications sont rejetées par la Torah. Il est dit, en effet, que “ tu aimeras ton prochain comme toi même ”, ce qui est, de plus, “ un grand principe de la Torah ”.
Vous êtes qualifié pour mener une action qui vous concerne personnellement et, dès lors, votre état de santé vous le permet. Or, il est une Injonction de la Torah d’en faire de même pour les autres et vous disposez donc des forces nécessaires pour la mettre en pratique.
Il est sûrement inutile d’en dire plus, tant cela est évident. Il est dommage de perdre du temps à s’interroger sur tout cela. Si vous y réfléchissez sincèrement, vous trouverez différents moyens qui vous permettront de diffuser les sources à l’extérieur et, en particulier, le Judaïsme, dans le cadre des jeunes de l’association ‘Habad.
Comme vous me le demandez, je citerai le nom de tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera..
Vous me parlez du plaisir particulier que l’on éprouve à réciter le Cantique Mizmor Chir Le Yom Ha Chabbat. On peut l’expliquer d’après la partie révélée de la Torah et également selon son enseignement caché. En effet, c’est alors que l’on reçoit la sainteté du Chabbat.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Kislev, dans laquelle vous me dites que vous avez consulté un livre faisant état de différentes pratiques bénéfiques et traitant, en particulier des lignes de la main.
Abandonnez donc tout cela ! Si vous recherchez réellement des pratiques bénéfiques, il en est une qui a fait ses preuves, c’est notre sainte Torah. Et, il en existe également une autre, la Sagesse de D.ieu, à Laquelle on peut s’unir en étudiant la Torah. On réalise ainsi l’union extraordinaire avec D.ieu, décrite au chapitre 5 du Tanya, que vous consulterez.
Il est dit que “ tu seras intègre envers l’Eternel ton D.ieu ” et, selon certains, pour le Ramban, par exemple, ce Précepte fait même partie des six cent treize Mitsvot de la Torah.
Vous me dites que vos actions, au sein des jeunes de l’association ‘Habad, sont pratiquement inexistantes, car vous n’êtes pas qualifié pour les réaliser et, en outre, votre état de santé ne vous le permet pas. Ces deux explications sont rejetées par la Torah. Il est dit, en effet, que “ tu aimeras ton prochain comme toi même ”, ce qui est, de plus, “ un grand principe de la Torah ”.
Vous êtes qualifié pour mener une action qui vous concerne personnellement et, dès lors, votre état de santé vous le permet. Or, il est une Injonction de la Torah d’en faire de même pour les autres et vous disposez donc des forces nécessaires pour la mettre en pratique.
Il est sûrement inutile d’en dire plus, tant cela est évident. Il est dommage de perdre du temps à s’interroger sur tout cela. Si vous y réfléchissez sincèrement, vous trouverez différents moyens qui vous permettront de diffuser les sources à l’extérieur et, en particulier, le Judaïsme, dans le cadre des jeunes de l’association ‘Habad.
Comme vous me le demandez, je citerai le nom de tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera..
Vous me parlez du plaisir particulier que l’on éprouve à réciter le Cantique Mizmor Chir Le Yom Ha Chabbat. On peut l’expliquer d’après la partie révélée de la Torah et également selon son enseignement caché. En effet, c’est alors que l’on reçoit la sainteté du Chabbat.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,