Lettre n° 3990

Par la grâce de D.ieu,
29 Kislev 5716,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 26 Kislev, avec ce qu’elle contenait.

Je suis surpris que, dans tous vos courriers, vous ne fassiez pas mention de vos actions positives et de celles de votre épouse, pour ce qui concerne la ‘Hassidout, ses usages et ses pratiques. Je fais allusion, très simplement, à votre participation aux cours publics de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, de même qu’aux actions de ‘Habad, de la manière qui convient, à vos efforts pour diffuser les sources à l’extérieur.

La Mitsva de “ tu aimeras ton prochain comme toi-même ”, le don de la Tsédaka, y compris sous sa forme spirituelle, vous concernent également, ainsi que votre épouse. Même si vous considérez que vous n’en avez pas les moyens, que cela est impossible, vous devez savoir que rien ne résiste à la volonté.

Bien plus, méditez à l’affirmation de nos Sages selon laquelle le pauvre, en l’occurrence celui qui reçoit cette Tsédaka spirituelle fait bien plus pour celui qui la lui donne que ce dernier pour lui. Tout cela est donc pour votre bien, physique et moral.

Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous commenciez à vous intéresser à tout ce qui vient d’être dit. Bien plus, je m’en suis entretenu avec vous et votre épouse, de vive voix, à de multiples reprises. Si vous y méditez maintenant, vous pourrez, le moment venu, réaliser des actions positives. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi, au plus vite.

Je vous joins le fascicule du 19 Kislev. Vous en mettrez sûrement le contenu à la disposition du plus grand nombre. Le mérite public dépend de vous.

Avec ma bénédiction pour que le souhait de votre cœur et de celui de votre épouse soit bientôt exaucé,