Lettre n° 3984
Par la grâce de D.ieu,
27 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me faites part de l’état de santé de votre épouse.
Il semble que sa nervosité soit, pour une large part, responsable de cette situation. Celle-ci s’exerce, pour partie, envers elle-même et, pour partie, envers ceux qui l’entourent. Néanmoins, il faut se débarrasser aussi de ce qui est d’origine nerveuse et, pour cela, il serait bon de consulter un médecin généraliste et, en outre, spécialisé dans ce domaine. Vous lui communiquerez les résultats des analyses qui ont été faites jusqu’à maintenant et vous lui demanderez son avis.
J’ai déjà écrit à plusieurs ‘Hassidim pour leur dire que, s’ils faisaient des efforts et si, le temps passant, ils s’habituaient également à écrire pour donner de bonnes nouvelles, ils seraient parfois, à n’en pas douter, délivrés de situations malencontreuses, qui n’ont d’autre but que de leur suggérer d’écrire des lettres.
En effet, qui sait ? Peut-être cette situation a-t-elle uniquement pour but que deux Juifs entrent en contact encore une fois, qu’ils se sentent proches, ce qui suscitera le plaisir dans les sphères célestes les plus élevées, comme l’expliquent le Likouteï Torah, au discours “ Enrôlez d’entre vous ” et le Dére’h Mitsvoté’ha, à la Mitsva de l’amour du prochain.
Je suis surpris que, dans cette lettre, vous ne disiez rien de vos autres préoccupations, ayant une portée publique, alors que vous avez eu le mérite d’être l’un des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, de chacun de ces élèves, il est dit qu’il doit être “ une bougie pour éclairer ”. Malgré cela, depuis votre dernière lettre, il y a eu les jours de Tichri. Il y a maintenant ceux de Kislev. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
27 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me faites part de l’état de santé de votre épouse.
Il semble que sa nervosité soit, pour une large part, responsable de cette situation. Celle-ci s’exerce, pour partie, envers elle-même et, pour partie, envers ceux qui l’entourent. Néanmoins, il faut se débarrasser aussi de ce qui est d’origine nerveuse et, pour cela, il serait bon de consulter un médecin généraliste et, en outre, spécialisé dans ce domaine. Vous lui communiquerez les résultats des analyses qui ont été faites jusqu’à maintenant et vous lui demanderez son avis.
J’ai déjà écrit à plusieurs ‘Hassidim pour leur dire que, s’ils faisaient des efforts et si, le temps passant, ils s’habituaient également à écrire pour donner de bonnes nouvelles, ils seraient parfois, à n’en pas douter, délivrés de situations malencontreuses, qui n’ont d’autre but que de leur suggérer d’écrire des lettres.
En effet, qui sait ? Peut-être cette situation a-t-elle uniquement pour but que deux Juifs entrent en contact encore une fois, qu’ils se sentent proches, ce qui suscitera le plaisir dans les sphères célestes les plus élevées, comme l’expliquent le Likouteï Torah, au discours “ Enrôlez d’entre vous ” et le Dére’h Mitsvoté’ha, à la Mitsva de l’amour du prochain.
Je suis surpris que, dans cette lettre, vous ne disiez rien de vos autres préoccupations, ayant une portée publique, alors que vous avez eu le mérite d’être l’un des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, de chacun de ces élèves, il est dit qu’il doit être “ une bougie pour éclairer ”. Malgré cela, depuis votre dernière lettre, il y a eu les jours de Tichri. Il y a maintenant ceux de Kislev. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,