Lettre n° 3965
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 18/11 et, mon secrétariat ne rédigeant pas le français, je vous adresse la présente en Yiddich. Vous trouverez sûrement quelqu’un pour vous la traduire. Bien évidemment, vous pouvez continuer à m’écrire en français, car je lis cette langue et j’ouvre personnellement mon courrier.
Tout d’abord, je voudrais vous féliciter d’avoir un aussi bon fils. Je ne le connais pas personnellement, mais ses lettres me permettent d’établir sa qualité. J’espère qu’il aura de nombreuses occasions d’utiliser ses capacités, pour lui-même et pour tout son entourage, de la façon la meilleure et la plus large.
Deuxième point, qui est essentiel, je saisis cette opportunité pour vous souhaiter Mazal Tov, ainsi qu’à votre mari, à l’occasion du mariage de votre fils et de sa fiancée, qui a été célébré en un moment bon et fructueux. L’un et l’autre bâtiront leur foyer dans le bonheur, matériel et spirituel.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
M. Schneerson,
N. B. : Vous évoquez la situation matérielle de votre fils. Celui-ci refuse d’accepter les subsides de la Yechiva, ce qui aurait pour effet de diminuer ceux qui sont versés aux autres membres. Vous craignez que ceci le place dans une situation difficile et vous pensez préférable de le convaincre qu’il l’accepte.
Bien évidemment, je ferai ce que vous demandez et je lui écrirai, en ce sens. Mais, je dois ajouter que les subsides versés par la Yechiva dépendent non seulement de l’état actuel des finances, mais aussi des besoins, en général. En l’occurrence, même s’il reçoit la totalité de la somme qui lui est accordée, cela ne sera pas suffisant.
En conséquence, je suis certain que vous-même, votre mari et vos proches, vous ferez tout pour l’aider. Bien plus, vous le ferez avec un cœur joyeux.
15 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 18/11 et, mon secrétariat ne rédigeant pas le français, je vous adresse la présente en Yiddich. Vous trouverez sûrement quelqu’un pour vous la traduire. Bien évidemment, vous pouvez continuer à m’écrire en français, car je lis cette langue et j’ouvre personnellement mon courrier.
Tout d’abord, je voudrais vous féliciter d’avoir un aussi bon fils. Je ne le connais pas personnellement, mais ses lettres me permettent d’établir sa qualité. J’espère qu’il aura de nombreuses occasions d’utiliser ses capacités, pour lui-même et pour tout son entourage, de la façon la meilleure et la plus large.
Deuxième point, qui est essentiel, je saisis cette opportunité pour vous souhaiter Mazal Tov, ainsi qu’à votre mari, à l’occasion du mariage de votre fils et de sa fiancée, qui a été célébré en un moment bon et fructueux. L’un et l’autre bâtiront leur foyer dans le bonheur, matériel et spirituel.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
M. Schneerson,
N. B. : Vous évoquez la situation matérielle de votre fils. Celui-ci refuse d’accepter les subsides de la Yechiva, ce qui aurait pour effet de diminuer ceux qui sont versés aux autres membres. Vous craignez que ceci le place dans une situation difficile et vous pensez préférable de le convaincre qu’il l’accepte.
Bien évidemment, je ferai ce que vous demandez et je lui écrirai, en ce sens. Mais, je dois ajouter que les subsides versés par la Yechiva dépendent non seulement de l’état actuel des finances, mais aussi des besoins, en général. En l’occurrence, même s’il reçoit la totalité de la somme qui lui est accordée, cela ne sera pas suffisant.
En conséquence, je suis certain que vous-même, votre mari et vos proches, vous ferez tout pour l’aider. Bien plus, vous le ferez avec un cœur joyeux.