Lettre n° 3963
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 1er jour de Roch ‘Hodech Kislev, mois de la délivrance, matérielle et spirituelle. Vous me dites que vous avez quitté l’endroit dans lequel vous vous trouviez jusqu’à maintenant(1) et que votre état de santé continue donc de s’améliorer, malgré ce que dit le début de votre lettre.
A l’avenir, vous continuerez à consulter le médecin et vous vous conformerez à ses prescriptions, mais, comme je vous l’ai déjà écrit, vous raffermirez votre confiance en Celui “ Qui guérit toute chair et fait des merveilles ”. De cette façon, vous mettrez aisément en pratique le Précepte : “ Servez D.ieu dans la joie ”.
Vous me dites que vous êtes confus et vous me faites part de toutes vos réflexions, à ce sujet. J’ai déjà écrit à plusieurs ‘Hassidim qu’il n’y a là qu’une intervention du mauvais penchant. Vous connaissez l’interprétation que donnent nos Sages du verset : “ Tu n’auras pas de dieu étranger ”. Ils expliquent, dans le traité Chabbat 105b, que cette expression désigne “ le petit malin ”(2), auquel s’applique donc la suite de ce verset : “ Tu le considéreras comme abject et repoussant ”. Il est sûrement inutile d’en dire plus et il est dommage de perdre du temps pour cela.
Vous me faites part de votre anniversaire. Puisse D.ieu faire que vous ayez une année de réussite dans le domaine matériel, dans le domaine spirituel et dans le domaine matériel et spirituel à la fois.
Je vous adresse ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération(3) et je salue vos voisins, là où vous vous trouvez actuellement(4). Sans doute leur transmettrez-vous ma bénédiction, une bénédiction de bonne santé physique et morale.
Notes
(1) Vraisemblablement, un hôpital.
(2) Le mauvais penchant.
(3) Le 19 Kislev.
(4) Peut-être un lieu de convalescence.
15 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 1er jour de Roch ‘Hodech Kislev, mois de la délivrance, matérielle et spirituelle. Vous me dites que vous avez quitté l’endroit dans lequel vous vous trouviez jusqu’à maintenant(1) et que votre état de santé continue donc de s’améliorer, malgré ce que dit le début de votre lettre.
A l’avenir, vous continuerez à consulter le médecin et vous vous conformerez à ses prescriptions, mais, comme je vous l’ai déjà écrit, vous raffermirez votre confiance en Celui “ Qui guérit toute chair et fait des merveilles ”. De cette façon, vous mettrez aisément en pratique le Précepte : “ Servez D.ieu dans la joie ”.
Vous me dites que vous êtes confus et vous me faites part de toutes vos réflexions, à ce sujet. J’ai déjà écrit à plusieurs ‘Hassidim qu’il n’y a là qu’une intervention du mauvais penchant. Vous connaissez l’interprétation que donnent nos Sages du verset : “ Tu n’auras pas de dieu étranger ”. Ils expliquent, dans le traité Chabbat 105b, que cette expression désigne “ le petit malin ”(2), auquel s’applique donc la suite de ce verset : “ Tu le considéreras comme abject et repoussant ”. Il est sûrement inutile d’en dire plus et il est dommage de perdre du temps pour cela.
Vous me faites part de votre anniversaire. Puisse D.ieu faire que vous ayez une année de réussite dans le domaine matériel, dans le domaine spirituel et dans le domaine matériel et spirituel à la fois.
Je vous adresse ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération(3) et je salue vos voisins, là où vous vous trouvez actuellement(4). Sans doute leur transmettrez-vous ma bénédiction, une bénédiction de bonne santé physique et morale.
Notes
(1) Vraisemblablement, un hôpital.
(2) Le mauvais penchant.
(3) Le 19 Kislev.
(4) Peut-être un lieu de convalescence.