Lettre n° 3939
Par la grâce de D.ieu,
8 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, qui a été expédiée en même temps que celle du 5 Kislev et dans laquelle vous me parlez de celui qui vous a rendu visite, avec les membres de sa famille. Vous me dites que vous avez du mal à saisir le sens de sa visite.
Vous connaissez sans doute le contenu de la lettre de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon laquelle, quand un homme a faim et se rassasie en consommant du pain et un repas, il pense, certes, à ce pain, à ce repas, à ces aliments et à ses boissons, mais, en réalité, la raison profonde de sa démarche est le désir éprouvé par son âme pour la parcelle de Divinité se trouvant dans les aliments et les boissons, conformément à l’explication qui est donnée du verset : “ Ce n’est pas seulement de pain que vit l’homme, mais de toute Parole de D.ieu ” se trouvant dans ce pain.
En tout état de cause, quelle que soit la raison évidente de cette visite, il est certain qu’à une dimension plus profonde, vous pouvez leur apporter quelque chose, dans le domaine de la pratique juive. Ces âmes ont donc suscité les circonstances qui leur ont permis de vous rendre visite, afin que vous leur rappeliez quelle est leur mission, que vous rapprochiez leur cœur de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Il est sûrement inutile d’en dire plus, tant cela est évident. Je voulais uniquement vous faire remarquer que vous devez réfléchir, rechercher chaque occasion vous permettant de réaliser tout cela concrètement, de la manière qui convient.
Bien évidemment, ceci s’applique, de la même façon, à la voisine que vous citez dans votre lettre. A ce propos, elle vous a montré la Mezouza qu’elle a achetée et il serait donc bon de la vérifier, au moins superficiellement, pour s’assurer qu’elle est cachère.
Vous me communiquez ce que dit le médecin, à propos de votre épouse. Il n’y a pas lieu de s’attarder sur ce point, d’autant que votre demande de bénédiction sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous transmettrez tout cela à votre épouse, avec la fermeté qui convient.
D.ieu fasse que sa grossesse soit facile et qu’elle enfante aisément, en son temps et de la manière qui convient,
Avec ma bénédiction,
8 Kislev 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, qui a été expédiée en même temps que celle du 5 Kislev et dans laquelle vous me parlez de celui qui vous a rendu visite, avec les membres de sa famille. Vous me dites que vous avez du mal à saisir le sens de sa visite.
Vous connaissez sans doute le contenu de la lettre de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon laquelle, quand un homme a faim et se rassasie en consommant du pain et un repas, il pense, certes, à ce pain, à ce repas, à ces aliments et à ses boissons, mais, en réalité, la raison profonde de sa démarche est le désir éprouvé par son âme pour la parcelle de Divinité se trouvant dans les aliments et les boissons, conformément à l’explication qui est donnée du verset : “ Ce n’est pas seulement de pain que vit l’homme, mais de toute Parole de D.ieu ” se trouvant dans ce pain.
En tout état de cause, quelle que soit la raison évidente de cette visite, il est certain qu’à une dimension plus profonde, vous pouvez leur apporter quelque chose, dans le domaine de la pratique juive. Ces âmes ont donc suscité les circonstances qui leur ont permis de vous rendre visite, afin que vous leur rappeliez quelle est leur mission, que vous rapprochiez leur cœur de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Il est sûrement inutile d’en dire plus, tant cela est évident. Je voulais uniquement vous faire remarquer que vous devez réfléchir, rechercher chaque occasion vous permettant de réaliser tout cela concrètement, de la manière qui convient.
Bien évidemment, ceci s’applique, de la même façon, à la voisine que vous citez dans votre lettre. A ce propos, elle vous a montré la Mezouza qu’elle a achetée et il serait donc bon de la vérifier, au moins superficiellement, pour s’assurer qu’elle est cachère.
Vous me communiquez ce que dit le médecin, à propos de votre épouse. Il n’y a pas lieu de s’attarder sur ce point, d’autant que votre demande de bénédiction sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous transmettrez tout cela à votre épouse, avec la fermeté qui convient.
D.ieu fasse que sa grossesse soit facile et qu’elle enfante aisément, en son temps et de la manière qui convient,
Avec ma bénédiction,