Lettre n° 3938
Par la grâce de D.ieu,
8 Kislev 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Morde’haï(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je reçois, avec plaisir, par les ‘Hassidim de Paris, de temps à autre, des nouvelles de l’aide que vous leur apportez, de vos efforts et de votre action pour les Talmud Torah Loubavitch parisiens, qui ont pour objectif d’apporter aux enfants l’éducation qui les rapprochera de notre Père se trouvant dans les cieux.
Vous connaissez le dicton du Baal Chem Tov(2), que nous avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel l’amour de D.ieu pour chaque Juif, homme ou femme, jeune ou vieux, est infiniment plus fort que celui de parents pour leur enfant unique, né alors qu’ils avaient déjà un âge avancé.
On peut en déduire l’immense mérite de tous ceux qui adoptent une telle activité, la récompense considérable que D.ieu accorde, en tous ses besoins, de même qu’en ceux des membres de sa famille. Je lirai donc votre demande de bénédiction près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. J’ai bon espoir qu’il invoquera la miséricorde divine pour cela et, surtout, pour l’état de santé de votre épouse.
De la sorte, vous pourrez intensifier votre activité pour renforcer la pratique juive, en général et la bonne éducation, dans la joie, en particulier.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav M. Miller, de Paris.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4145.
8 Kislev 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Morde’haï(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je reçois, avec plaisir, par les ‘Hassidim de Paris, de temps à autre, des nouvelles de l’aide que vous leur apportez, de vos efforts et de votre action pour les Talmud Torah Loubavitch parisiens, qui ont pour objectif d’apporter aux enfants l’éducation qui les rapprochera de notre Père se trouvant dans les cieux.
Vous connaissez le dicton du Baal Chem Tov(2), que nous avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel l’amour de D.ieu pour chaque Juif, homme ou femme, jeune ou vieux, est infiniment plus fort que celui de parents pour leur enfant unique, né alors qu’ils avaient déjà un âge avancé.
On peut en déduire l’immense mérite de tous ceux qui adoptent une telle activité, la récompense considérable que D.ieu accorde, en tous ses besoins, de même qu’en ceux des membres de sa famille. Je lirai donc votre demande de bénédiction près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. J’ai bon espoir qu’il invoquera la miséricorde divine pour cela et, surtout, pour l’état de santé de votre épouse.
De la sorte, vous pourrez intensifier votre activité pour renforcer la pratique juive, en général et la bonne éducation, dans la joie, en particulier.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav M. Miller, de Paris.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4145.