Lettre n° 3912
Par la grâce de D.ieu,
29 Mar’hechvan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je voudrais vous faire remarquer qu’il n’apparaît pas, dans vos lettres, que vous consacriez votre temps et vos forces à exercer une influence positive au sein de votre propre foyer, auprès de votre épouse et de vos enfants, de manière agréable et proche.
J’emploie, à dessein, le mot “ se consacrer ”, car il s’agit bien d’une consécration, de la perpétuation du peuple sacré. Au sens le plus simple, il est dit que “ tu l’enseigneras(1) à tes enfants ”, comme l’expliquent également les lois de l’étude de la Torah.
Bien plus, vous connaissez la causerie du Rabbi Rachab(2) affirmant, dès son début, que, tout comme on est tenu de mettre les Tefillin chaque jour, on doit également consacrer du temps à guider son épouse et ses enfants.
Bien entendu, on ne peut s’acquitter de son obligation en se disant que l’on se trouve au sommet de ‘Habad, que l’on détient la lumière ne pénétrant pas dans les réceptacles(3), sur le compte des autres. Au final, on le fait également sur son propre compte(4).
D.ieu fasse que vous donniez l’exemple, dans ce domaine, à vos amis et à vos connaissances. Il est clair que l’on ne doit pas limiter le temps que l’on y consacre. Comme on l’a souligné, c’est ainsi que l’on sanctifie le temps. Car, la sainteté et la Mitsva attirent la sainteté et la Mitsva.
Dans l’attente de bonnes nouvelles pour tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) La Torah.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°1391.
(3) Ne subissant pas la limite.
(4) On est soi-même victime d’une telle attitude.
29 Mar’hechvan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je voudrais vous faire remarquer qu’il n’apparaît pas, dans vos lettres, que vous consacriez votre temps et vos forces à exercer une influence positive au sein de votre propre foyer, auprès de votre épouse et de vos enfants, de manière agréable et proche.
J’emploie, à dessein, le mot “ se consacrer ”, car il s’agit bien d’une consécration, de la perpétuation du peuple sacré. Au sens le plus simple, il est dit que “ tu l’enseigneras(1) à tes enfants ”, comme l’expliquent également les lois de l’étude de la Torah.
Bien plus, vous connaissez la causerie du Rabbi Rachab(2) affirmant, dès son début, que, tout comme on est tenu de mettre les Tefillin chaque jour, on doit également consacrer du temps à guider son épouse et ses enfants.
Bien entendu, on ne peut s’acquitter de son obligation en se disant que l’on se trouve au sommet de ‘Habad, que l’on détient la lumière ne pénétrant pas dans les réceptacles(3), sur le compte des autres. Au final, on le fait également sur son propre compte(4).
D.ieu fasse que vous donniez l’exemple, dans ce domaine, à vos amis et à vos connaissances. Il est clair que l’on ne doit pas limiter le temps que l’on y consacre. Comme on l’a souligné, c’est ainsi que l’on sanctifie le temps. Car, la sainteté et la Mitsva attirent la sainteté et la Mitsva.
Dans l’attente de bonnes nouvelles pour tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) La Torah.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°1391.
(3) Ne subissant pas la limite.
(4) On est soi-même victime d’une telle attitude.