Lettre n° 3872
Par la grâce de D.ieu,
10 Mar’hechvan 5710,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 2 ‘Hechvan, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Conformément à votre demande, celle-ci sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Il est dit que tous les Juifs ont une responsabilité collective et à ceci s’ajoute également la proximité familiale. Plus vous étudierez avec ardeur et empressement, plus vous prierez avec ferveur, plus vous accomplirez les Mitsvot de la meilleure façon et plus vous recevrez les bénédictions de D.ieu que vous sollicitez dans ce courrier. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite et m’annonciez de bonnes nouvelles, à ce propos.
Je viens de recevoir votre lettre du 16 Mar’hechvan, avec les quatre demandes de bénédiction, qui seront lues, en un moment propice, près du saint tombeau. Vous me faites également part de votre état d’esprit. Or, une explication a déjà été clairement donnée, à ce sujet, dans le Tanya, à partir du chapitre 27.
Et, l’on peut observer concrètement que toute pensée que l’on peut avoir sur sa propre personne conduit à négliger l’étude de la Torah et suggère l’idée insensée de quitter la Yechiva. Il faut en conclure que ces pensées émanent du mauvais penchant, dont l’objectif est de lutter contre le bonheur matériel et spirituel de l’homme, en lui expliquant que celui-ci est rationnellement impossible.
De telles pensées existent uniquement parce que “ l’Eternel vous met à l’épreuve ”. Si l’on se renforce pour surmonter l’épreuve, on peut soi-même constater à quel point elles sont insensées.
Oubliez donc toutes ces pensées, sans même entrer dans la discussion, mais uniquement en les repoussant par une idée lumineuse. En effet, un peu de lumière suffit pour repousser beaucoup d’obscurité.
Vous demanderez à votre professeur et au recteur de la Yechiva d’organiser vos études de la manière qui convient et vous vous conformerez à leurs instructions. Que D.ieu vous accorde la réussite.
10 Mar’hechvan 5710,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 2 ‘Hechvan, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Conformément à votre demande, celle-ci sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Il est dit que tous les Juifs ont une responsabilité collective et à ceci s’ajoute également la proximité familiale. Plus vous étudierez avec ardeur et empressement, plus vous prierez avec ferveur, plus vous accomplirez les Mitsvot de la meilleure façon et plus vous recevrez les bénédictions de D.ieu que vous sollicitez dans ce courrier. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite et m’annonciez de bonnes nouvelles, à ce propos.
Je viens de recevoir votre lettre du 16 Mar’hechvan, avec les quatre demandes de bénédiction, qui seront lues, en un moment propice, près du saint tombeau. Vous me faites également part de votre état d’esprit. Or, une explication a déjà été clairement donnée, à ce sujet, dans le Tanya, à partir du chapitre 27.
Et, l’on peut observer concrètement que toute pensée que l’on peut avoir sur sa propre personne conduit à négliger l’étude de la Torah et suggère l’idée insensée de quitter la Yechiva. Il faut en conclure que ces pensées émanent du mauvais penchant, dont l’objectif est de lutter contre le bonheur matériel et spirituel de l’homme, en lui expliquant que celui-ci est rationnellement impossible.
De telles pensées existent uniquement parce que “ l’Eternel vous met à l’épreuve ”. Si l’on se renforce pour surmonter l’épreuve, on peut soi-même constater à quel point elles sont insensées.
Oubliez donc toutes ces pensées, sans même entrer dans la discussion, mais uniquement en les repoussant par une idée lumineuse. En effet, un peu de lumière suffit pour repousser beaucoup d’obscurité.
Vous demanderez à votre professeur et au recteur de la Yechiva d’organiser vos études de la manière qui convient et vous vous conformerez à leurs instructions. Que D.ieu vous accorde la réussite.