Lettre n° 3864
Par la grâce de D.ieu,
8 Mar’hechvan 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat Bera’ha(2).
Vous avez sûrement reçu, en son temps, la réponse à la question que vous posiez dans votre lettre précédente.
Vous faites également allusion à votre frère et vous m’expliquez pour quelle raison vous n’avez pas répondu à mon courrier, demandant que l’on fasse vérifier ses Tefillin. Bien évidemment, la raison que vous donnez renforce ma proposition et je suggère que ses Tefillin soient vérifiées au plus vite, que l’on s’assure de la validité des parchemins. Vous le ferez le plus rapidement possible et, bien entendu, il est très important qu’il les porte, chaque jour de semaine, pendant quelques minutes au moins.
D.ieu souhaite qu’un Juif accomplisse une Mitsva de son plein gré et non sous la contrainte et ceci est également vrai pour votre frère. Il convient, néanmoins, de lui expliquer que, lorsque l’on prescrit un médicament à un malade, il n’est pas une attitude rationnelle d’aller étudier la médecine, d’y consacrer quelques années, jusqu’à l’obtention du titre de médecin, de comprendre ensuite quel est l’effet de ce traitement et de le suivre seulement à l’issue de tout cela.
De fait, plus l’on retarde le traitement, plus l’état de santé se détériore et plus l’on aura des difficultés à percevoir la situation telle qu’elle est réellement, moins la vérité apparaîtra clairement.
Puisse D.ieu faire que vous et vos amis trouviez les mots qui conviennent pour le guider sur la voie qui lui apportera le bien, matériel et spirituel.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) De la Parchat Ve Zot Ha Bera’ha.
8 Mar’hechvan 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat Bera’ha(2).
Vous avez sûrement reçu, en son temps, la réponse à la question que vous posiez dans votre lettre précédente.
Vous faites également allusion à votre frère et vous m’expliquez pour quelle raison vous n’avez pas répondu à mon courrier, demandant que l’on fasse vérifier ses Tefillin. Bien évidemment, la raison que vous donnez renforce ma proposition et je suggère que ses Tefillin soient vérifiées au plus vite, que l’on s’assure de la validité des parchemins. Vous le ferez le plus rapidement possible et, bien entendu, il est très important qu’il les porte, chaque jour de semaine, pendant quelques minutes au moins.
D.ieu souhaite qu’un Juif accomplisse une Mitsva de son plein gré et non sous la contrainte et ceci est également vrai pour votre frère. Il convient, néanmoins, de lui expliquer que, lorsque l’on prescrit un médicament à un malade, il n’est pas une attitude rationnelle d’aller étudier la médecine, d’y consacrer quelques années, jusqu’à l’obtention du titre de médecin, de comprendre ensuite quel est l’effet de ce traitement et de le suivre seulement à l’issue de tout cela.
De fait, plus l’on retarde le traitement, plus l’état de santé se détériore et plus l’on aura des difficultés à percevoir la situation telle qu’elle est réellement, moins la vérité apparaîtra clairement.
Puisse D.ieu faire que vous et vos amis trouviez les mots qui conviennent pour le guider sur la voie qui lui apportera le bien, matériel et spirituel.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) De la Parchat Ve Zot Ha Bera’ha.