Lettre n° 3831
Par la grâce de D.ieu,
18 Tichri 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Tichri, dans laquelle vous me décrivez ce qui est arrivé, à plusieurs reprises, à votre épouse(1).
Il faudrait vérifier si vos fiançailles n’ont pas eu pour effet d’humilier un Juif ou une Juive(2), si vous et votre épouse employez des termes qui vont à l’encontre de la bénédiction, ce qu’à D.ieu ne plaise et, avant tout, si vous n’avez pas l’habitude de prendre de bonnes décisions, en ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, sans les honorer par la suite.
S’il en a été ainsi, de par le passé, vous prendrez immédiatement la résolution sincère de réparer tout cela, à l’avenir. Et, D.ieu sonde les cœurs(3).
On doit systématiquement emprunter les voies de la nature et votre épouse consultera donc un médecin spécialiste dans ce domaine. Selon ce que l’on dit ici, le docteur Ocherman et le docteur Tsundek sont très compétents. Que D.ieu vous accorde la réussite.
De même, il serait bon de faire vérifier vos Tefillin et les Mezouzot de votre maison, afin de vous assurer qu’elles sont toutes conformes à la Hala’ha. Et, votre épouse prélèvera quelques pièces pour la Tsédaka, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Elle en fera de même, dans la semaine, les lundis et jeudis matins.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Du fait de la sainteté de la fête(4), le Rabbi Chlita ne signe pas cette lettre et je le fais donc à sa place,
Le secrétaire,
Notes
(1) Vraisemblablement plusieurs fausses couches.
(2) Auquel l’un ou l’autre aurait promis le mariage, puis rompu cette union sans présenter des excuses.
(3) Il tient donc compte d’une décision dès qu’elle est prise et non à son application.
(4) De Soukkot.
18 Tichri 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Tichri, dans laquelle vous me décrivez ce qui est arrivé, à plusieurs reprises, à votre épouse(1).
Il faudrait vérifier si vos fiançailles n’ont pas eu pour effet d’humilier un Juif ou une Juive(2), si vous et votre épouse employez des termes qui vont à l’encontre de la bénédiction, ce qu’à D.ieu ne plaise et, avant tout, si vous n’avez pas l’habitude de prendre de bonnes décisions, en ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, sans les honorer par la suite.
S’il en a été ainsi, de par le passé, vous prendrez immédiatement la résolution sincère de réparer tout cela, à l’avenir. Et, D.ieu sonde les cœurs(3).
On doit systématiquement emprunter les voies de la nature et votre épouse consultera donc un médecin spécialiste dans ce domaine. Selon ce que l’on dit ici, le docteur Ocherman et le docteur Tsundek sont très compétents. Que D.ieu vous accorde la réussite.
De même, il serait bon de faire vérifier vos Tefillin et les Mezouzot de votre maison, afin de vous assurer qu’elles sont toutes conformes à la Hala’ha. Et, votre épouse prélèvera quelques pièces pour la Tsédaka, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Elle en fera de même, dans la semaine, les lundis et jeudis matins.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Du fait de la sainteté de la fête(4), le Rabbi Chlita ne signe pas cette lettre et je le fais donc à sa place,
Le secrétaire,
Notes
(1) Vraisemblablement plusieurs fausses couches.
(2) Auquel l’un ou l’autre aurait promis le mariage, puis rompu cette union sans présenter des excuses.
(3) Il tient donc compte d’une décision dès qu’elle est prise et non à son application.
(4) De Soukkot.