Lettre n° 3821
Par la grâce de D.ieu,
12 Tichri 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Vous avez vu l’un de mes courriers imprimé dans un périodique dont on peut craindre qu’il ne soit pas conservé(2). Or, des propos de nos Sages et un verset étaient cités dans cette lettre.
Je me base, en la matière, sur la pratique des Grands de notre peuple, dans les pays où nous nous trouvions auparavant(3) et également sur l’usage de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsqu’il était aux Etats Unis. En effet, quand cela était nécessaire, celui-ci publiait des propos d’encouragement dans la presse et il y mentionnait des commentaires de nos Sages et des versets.
Bien évidemment, des précautions étaient prises, dans la mesure du possible. Ainsi, le Nom de D.ieu n’était pas écrit en toutes lettres et nous adoptons également cette précaution, y compris dans l’édition de brochures et même lorsqu’elles sont publiées dans la langue du pays, comme l’expliquent les Décisionnaires, selon lesquels les Noms énoncés dans d’autres langues sont également saints.
Vous connaissez l’explication du verset(4) “ Sa bannière suscite mon amour ”, donnée par nos Sages(5), selon laquelle “ le fait d’omettre(6) le Nom suscite Mon amour ”.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement scellé pour une bonne année et ayez une fête(7) joyeuse,
Notes
(1) Le Rav M. Amsel, de Brooklyn.
(2) Par ses lecteurs, ce qui a pour effet de jeter des paroles de la Torah.
(3) En Europe de l’est.
(4) Chir Hachirim 2, 4.
(5) Dans le Midrach Chir Hachirim Rabba, chapitre 2, paragraphe 13.
(6) Déguel, la bannière, est l’anagramme de Daleg, omettre.
(7) De Soukkot.
12 Tichri 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Vous avez vu l’un de mes courriers imprimé dans un périodique dont on peut craindre qu’il ne soit pas conservé(2). Or, des propos de nos Sages et un verset étaient cités dans cette lettre.
Je me base, en la matière, sur la pratique des Grands de notre peuple, dans les pays où nous nous trouvions auparavant(3) et également sur l’usage de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsqu’il était aux Etats Unis. En effet, quand cela était nécessaire, celui-ci publiait des propos d’encouragement dans la presse et il y mentionnait des commentaires de nos Sages et des versets.
Bien évidemment, des précautions étaient prises, dans la mesure du possible. Ainsi, le Nom de D.ieu n’était pas écrit en toutes lettres et nous adoptons également cette précaution, y compris dans l’édition de brochures et même lorsqu’elles sont publiées dans la langue du pays, comme l’expliquent les Décisionnaires, selon lesquels les Noms énoncés dans d’autres langues sont également saints.
Vous connaissez l’explication du verset(4) “ Sa bannière suscite mon amour ”, donnée par nos Sages(5), selon laquelle “ le fait d’omettre(6) le Nom suscite Mon amour ”.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez définitivement scellé pour une bonne année et ayez une fête(7) joyeuse,
Notes
(1) Le Rav M. Amsel, de Brooklyn.
(2) Par ses lecteurs, ce qui a pour effet de jeter des paroles de la Torah.
(3) En Europe de l’est.
(4) Chir Hachirim 2, 4.
(5) Dans le Midrach Chir Hachirim Rabba, chapitre 2, paragraphe 13.
(6) Déguel, la bannière, est l’anagramme de Daleg, omettre.
(7) De Soukkot.