Lettre n° 3679
Par la grâce de D.ieu,
28 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tamouz, de même qu'à ce qu'elle contenait(1) et que vous m'envoyez vraisemblablement pour justifier votre émotion, à réception de ma lettre. Il semble que celle-ci soit due au fait que je n'en étais pas le signataire(2). Vous en élaborez différents commentaires, mais cela n'a pas lieu d'être, car il n'y avait là, de ma part, aucune de ces intentions, ce qu'à D.ieu ne plaise.
Voici pour quelle raison je n'ai pas signé cette lettre. Je lis moi-même, bien évidemment, tous les courriers qui me sont adressés et j'indique personnellement la réponse qu'il convient de leur faire. Pour ce qui est de la signature, le principe adopté est le suivant. Si le contenu de la lettre l'exige, par exemple si une demande pressante(3) y est formulée ou bien si elle comporte une explication de la partie révélée de la Torah ou de la 'Hassidout, je la signe. Tel n'était pas le cas de celle que je vous ai adressée, qui était uniquement un accusé de réception de la vôtre et un moyen d'attirer votre attention sur le contenu du courrier adressé aux jeunes de l'association 'Habad, que j'avais effectivement signé. A la fin, je précisais qu'il concerne chacun d'entre nous. C'est donc comme si la lettre que j'ai signé vous était adressée, ou bien c'est même véritablement le cas.
Tout cela était si évident pour moi que l'idée d'écarter toute autre interprétation ne m'est même pas venue à l'esprit. Néanmoins, je vois, dans ce que vous m'écrivez et, encore plus, dans ce qui se trouve entre les lignes, que cette situation vous dérange. C'est la raison pour laquelle je vous adresse ces quelques lignes.
Puisse D.ieu faire que vous renforciez le Judaïsme et sa diffusion en tout endroit où vous vous trouvez. Vous le ferez en bonne santé et avec largesse d'esprit.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Vraisemblablement une copie de la lettre adressée par le Rabbi au destinataire de la présente.
(2) Cette lettre était signée par le secrétaire du Rabbi.
(3) De la part du Rabbi.
28 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tamouz, de même qu'à ce qu'elle contenait(1) et que vous m'envoyez vraisemblablement pour justifier votre émotion, à réception de ma lettre. Il semble que celle-ci soit due au fait que je n'en étais pas le signataire(2). Vous en élaborez différents commentaires, mais cela n'a pas lieu d'être, car il n'y avait là, de ma part, aucune de ces intentions, ce qu'à D.ieu ne plaise.
Voici pour quelle raison je n'ai pas signé cette lettre. Je lis moi-même, bien évidemment, tous les courriers qui me sont adressés et j'indique personnellement la réponse qu'il convient de leur faire. Pour ce qui est de la signature, le principe adopté est le suivant. Si le contenu de la lettre l'exige, par exemple si une demande pressante(3) y est formulée ou bien si elle comporte une explication de la partie révélée de la Torah ou de la 'Hassidout, je la signe. Tel n'était pas le cas de celle que je vous ai adressée, qui était uniquement un accusé de réception de la vôtre et un moyen d'attirer votre attention sur le contenu du courrier adressé aux jeunes de l'association 'Habad, que j'avais effectivement signé. A la fin, je précisais qu'il concerne chacun d'entre nous. C'est donc comme si la lettre que j'ai signé vous était adressée, ou bien c'est même véritablement le cas.
Tout cela était si évident pour moi que l'idée d'écarter toute autre interprétation ne m'est même pas venue à l'esprit. Néanmoins, je vois, dans ce que vous m'écrivez et, encore plus, dans ce qui se trouve entre les lignes, que cette situation vous dérange. C'est la raison pour laquelle je vous adresse ces quelques lignes.
Puisse D.ieu faire que vous renforciez le Judaïsme et sa diffusion en tout endroit où vous vous trouvez. Vous le ferez en bonne santé et avec largesse d'esprit.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Vraisemblablement une copie de la lettre adressée par le Rabbi au destinataire de la présente.
(2) Cette lettre était signée par le secrétaire du Rabbi.
(3) De la part du Rabbi.