Lettre n° 3599
Par la grâce de D.ieu,
2 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué 'Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
aux multiples connaissances, le Rav C. Y.(1),
Je vous bénis et vous salue,
A) Je fais réponse à votre lettre d'avant la fête de Chavouot, qui a été acheminée avec un peu de retard et à celle qui la précédait. Il est pénible de constater que le front religieux uni n’a pas pu voir le jour(2). Cela est d’autant plus surprenant que l’on peut observer, y compris par ses yeux de chair, à quel point l’esprit de parti s’est instauré. Ces dirigeants politiques qui, dans leur vie privée, sont réellement pratiquants, sont prêts, sans l’ombre d’une hésitation, à abandonner le bénéfice certain qu’un tel front apporterait à la religion pour le “ plat de lentilles ” douteux qu’est l’intérêt du parti.
Le voile est si intense et l’obscurité de cet exil si profond, d’autant qu’il émane d’un stade des forces du mal qui a été autorisé à danser dans le palais royal, dans “ le pays vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”, que ces hommes ne mesurent pas eux-mêmes la portée de leurs actes. Ils ne comprennent même pas ce qu’ils font et s’emploient à tromper des personnes craignant D.ieu. Ils parviennent à se convaincre que la crainte de D.ieu la plus pure est leur seule motivation et non l’intérêt du parti.
Nos Sages disent que l’on accepte le témoignage de quiconque rapporte un fait devant être établi, de lui-même, par la suite. Combien plus en est-il donc ainsi pour ce qui est d'ores et déjà révélé. Malgré cela, les hommes des partis prétendent effrontément le contraire. Or, ils parviennent à le faire, alors que tous peuvent lire ce que les journaux disaient de ces partis, il y a seulement quelques jours. Et, les auteurs de ces articles eux-mêmes prétendent maintenant le contraire.
B) Cette situation nous permet de comprendre à quel point sera intense la lumière de la délivrance véritable. D.ieu a donné l’assurance que l’on dira alors : “ Je Te rends grâce, Eternel, car Tu m’a réprimandé ”. En effet, un tel voile est, en l'occurrence, suscité par celui qui possède une âme divine(3) et le Tanya, à la fin du chapitre 24, permet de comprendre clairement ce que cela veut dire.
On prendra conscience de tout cela, quand se révélera notre juste Machia’h, qui libérera nos frères de l’exil, celui de la Terre Sainte comme celui du reste du monde, de la “ fosse profonde ”, de l’effroyable pénombre, que perçoit même l’intellect humain, pour peu qu’il raisonne de manière juste.
C) Je vous remercie de rester en contact avec notre ami, monsieur Chazar. Vous ajoutez qu’il correspond avec moi, mais, pour l’heure, je n’ai reçu aucune de ses lettres.
D) Vous évoquez le Péla’h Ha Rimon(4). Nous venons d’achever l’édition du tome qui porte sur le livre de Chemot. Celui-ci compte plus de quatre cents pages. Bien évidemment, nous vous l’enverrons dès qu’il sera relié.
E) Si vous avez de bonnes nouvelles de l’état de santé de votre fils, vous ne manquerez pas de me les faire savoir. Je vous en remercie d’avance.
F) Vous évoquez la modification qui est introduite à propos de Lag Baomer. En effet, dans les discours ‘hassidiques, on emploie ce terme avec un Beth(5), alors que dans le compte proprement dit, on prononce un Lamed(6), comme on le fait tous les autres jours de l’Omer(7). Vous développez une longue explication, à ce sujet.
Néanmoins, les raisons que vous donnez pour justifier ce changement s’appliquent, de la même façon, aux autres jours de l’Omer, par exemple quand on écrit une lettre, et également à Lag Baomer. Selon l’explication de la ‘Hassidout, les jours précédant importent également, car le raffinement et l’effort(8) se font par étapes. On ne peut pas parvenir à “ Hod de Hod ”(9) sans avoir franchi, auparavant, tous les stades préalables.
De vous à moi, je ne vois qu’une seule explication à ce changement et elle est particulièrement simple. Selon différents avis, on doit employer le Beth(5) pour faire le compte(10) et le fait nouveau est que nous comptons précisément avec un Lamed(6). Il est clair que, pour le compte proprement dit, on doit intégrer les différences qui existent, selon que l’on dit Baomer ou Laomer. En revanche, cela est moins important pour ce qui n’est pas aussi précis(11), par exemple la date que l'on inscrit sur les lettres.
Ainsi, dans les trois premières parties du Tanya(12), on cite des versets illustrant le propos exposé, alors que, dans Iguéret Hakodech(13), on ne le fait pas, comme je l’indique dans l’avant propos de l’index du Tanya. Pour une raison évidente(14), je n’ai pas voulu diffuser largement cette explication.
G) Je vous joins la suite de la note sur l’emprisonnement(15) qui, à n’en pas douter, vous intéressera.
Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
N. B. : Je viens d’apprendre que le fonds de sauvetage se réunira, lundi prochain. J’ai demandé qu’un télégramme vous soit adressé à ce sujet et, par votre intermédiaire, également au Rav Hutner, qui est sûrement en contact avec eux(16), afin qu’une intervention soit faite pour le soutien de l’Encyclopédie. En effet, on leur demande, cette année, de distribuer moins de subventions que l’an dernier. Un effort particulier est donc nécessaire, qui se révélera peut-être efficace.
Concernant la différence entre le Beth et le Lamed, précédemment évoquée, vous consulterez également Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 13.
J’évoquais, dans ma précédente lettre(17), le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, au chapitre 158 :
A) Le Toureï Zahav lui-même, et non uniquement l’avis qu’il rapporte, adopte une position plus conciliante que le Gaon de Vilna, dont l’Admour Hazaken précise la position dans son Choul’han Arou’h, chapitre 158, paragraphe 7.
En effet, il souligne, à différentes reprises, que “ dès lors qu’il réalise une action pour en faire un liquide…, grâce à cette action pour en faire un liquide ”. Il n’en est pas de même pour le Maguen Avraham, qui dit : “ En les liquéfiant, il pensera uniquement à en faire un aliment ”.
De ce fait, le Toureï Zahav et le Maguen Avraham ont des avis divergents sur tous les cas intermédiaires qui peuvent être déterminés entre ces deux extrêmes, par exemple si l’on pense à en faire à la fois un aliment et un liquide, auquel cas il n’y pas d’acte déterminant(18). Tout dépend donc de l’action qu’on réalise par la suite. Et, l'on peut encore trouver d’autres exemples.
B) D’où l’Admour Hazaken déduit-il qu’il faut interpréter les paroles du Maguen Avraham de cette façon ? Cela importe peu, pour notre propos. En effet, quel que soit l’avis personnel du Toureï Zahav, le Maguen Avraham discute, en fait, celui qu’il rapporte. Il faut en conclure que l’Admour Hazaken a une preuve que cette explication est la bonne et ne considère pas uniquement que l’on est incapable de trouver une autre explication.
Cette preuve est peut-être la suivante. Le Maguen Avraham cite, pour étayer son raisonnement, le lavage des mains dont il est question au traité Chabbat 19b : “ Le miel est, d’emblée, un liquide et, en l’occurrence, également un liquide ”.
C) Vous relevez l’expression suivante de l’Admour Hazaken, “ il adopte une position conciliante également en la matière ”. Il est clair que ceci se rapporte à ce qui a été dit auparavant : “ Néanmoins, il pourra le consommer avec une cuillère ou un couteau ”, qu’il reprend pratiquement mot pour mot en disant : “ On peut adopter une position conciliante, en la matière, s’il le fait avec une cuillère ou avec un couteau ”.
D) L’idée que la pensée d’un non-Juif restera sans effet, lors de la liquéfaction, que je cite seulement de manière accessoire, peut être expliquée de la façon suivante. Pour un non-Juif, il importe peu que cela soit, par la suite, un aliment ou un liquide. Il n’en est pas de même dans votre raisonnement, comme si la question et le doute ne se posaient pas encore, comme si l'on n'était pas encore en mesure de fixer une position et de décider. On peut citer plusieurs exemples, à ce sujet.
De même, on peut penser que l’utilité de la pensée est conditionnée par le fait que celui qui l’a est bien le propriétaire(19). C’est pour cela que, dans différents domaines, la pensée du non-Juif n’est pas prise en compte, comme l’explique le Tsafnat Paanéa’h, dans le complément du tome 4, page 14. Tout ceci ne sera pas développé ici.
Notes
(1) Le Rav Chlomo Yossef Zevin, de Jérusalem, auteur de l'Encyclopédie talmudique. Voir, à son sujet, la lettre n°3405.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3489.
(3) Textuellement “ l’ombre qui n’a pas d’ombre ”, c’est-à-dire l’essence de l’âme juive, qui n’a pas son équivalent, dans les forces du mal.
(4) De Rabbi Hillel de Paritch, l’un des grands disciples de l’Admour Haémtsahi et du Tséma’h Tsédek.
(5) Baomer.
(6) Laomer.
(7) Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 7, page 337.
(8) De cette période de l’Omer.
(9) Le compte de l’Omer du jour de Lag Baomer.
(10) De chaque jour.
(11) Comme, par exemple, la date d'une lettre ou même la manière dont on appelle ce jour, dans les discours ‘hassidiques.
(12) Qui sont des textes rédigés avec précision.
(13) Qui est un recueil de lettres.
(14) Pour ne pas introduire de différence entre les degrés de précision des textes.
(15) Du précédent Rabbi.
(16) Avec les membres de ce comité.
(17) Il s’agit de la lettre n°3452, qui tendait à déterminer à partir de quand le miel peut être considéré comme un liquide.
(18) Pour établir quelle intention on a.
(19) Du miel.
2 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué 'Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
aux multiples connaissances, le Rav C. Y.(1),
Je vous bénis et vous salue,
A) Je fais réponse à votre lettre d'avant la fête de Chavouot, qui a été acheminée avec un peu de retard et à celle qui la précédait. Il est pénible de constater que le front religieux uni n’a pas pu voir le jour(2). Cela est d’autant plus surprenant que l’on peut observer, y compris par ses yeux de chair, à quel point l’esprit de parti s’est instauré. Ces dirigeants politiques qui, dans leur vie privée, sont réellement pratiquants, sont prêts, sans l’ombre d’une hésitation, à abandonner le bénéfice certain qu’un tel front apporterait à la religion pour le “ plat de lentilles ” douteux qu’est l’intérêt du parti.
Le voile est si intense et l’obscurité de cet exil si profond, d’autant qu’il émane d’un stade des forces du mal qui a été autorisé à danser dans le palais royal, dans “ le pays vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”, que ces hommes ne mesurent pas eux-mêmes la portée de leurs actes. Ils ne comprennent même pas ce qu’ils font et s’emploient à tromper des personnes craignant D.ieu. Ils parviennent à se convaincre que la crainte de D.ieu la plus pure est leur seule motivation et non l’intérêt du parti.
Nos Sages disent que l’on accepte le témoignage de quiconque rapporte un fait devant être établi, de lui-même, par la suite. Combien plus en est-il donc ainsi pour ce qui est d'ores et déjà révélé. Malgré cela, les hommes des partis prétendent effrontément le contraire. Or, ils parviennent à le faire, alors que tous peuvent lire ce que les journaux disaient de ces partis, il y a seulement quelques jours. Et, les auteurs de ces articles eux-mêmes prétendent maintenant le contraire.
B) Cette situation nous permet de comprendre à quel point sera intense la lumière de la délivrance véritable. D.ieu a donné l’assurance que l’on dira alors : “ Je Te rends grâce, Eternel, car Tu m’a réprimandé ”. En effet, un tel voile est, en l'occurrence, suscité par celui qui possède une âme divine(3) et le Tanya, à la fin du chapitre 24, permet de comprendre clairement ce que cela veut dire.
On prendra conscience de tout cela, quand se révélera notre juste Machia’h, qui libérera nos frères de l’exil, celui de la Terre Sainte comme celui du reste du monde, de la “ fosse profonde ”, de l’effroyable pénombre, que perçoit même l’intellect humain, pour peu qu’il raisonne de manière juste.
C) Je vous remercie de rester en contact avec notre ami, monsieur Chazar. Vous ajoutez qu’il correspond avec moi, mais, pour l’heure, je n’ai reçu aucune de ses lettres.
D) Vous évoquez le Péla’h Ha Rimon(4). Nous venons d’achever l’édition du tome qui porte sur le livre de Chemot. Celui-ci compte plus de quatre cents pages. Bien évidemment, nous vous l’enverrons dès qu’il sera relié.
E) Si vous avez de bonnes nouvelles de l’état de santé de votre fils, vous ne manquerez pas de me les faire savoir. Je vous en remercie d’avance.
F) Vous évoquez la modification qui est introduite à propos de Lag Baomer. En effet, dans les discours ‘hassidiques, on emploie ce terme avec un Beth(5), alors que dans le compte proprement dit, on prononce un Lamed(6), comme on le fait tous les autres jours de l’Omer(7). Vous développez une longue explication, à ce sujet.
Néanmoins, les raisons que vous donnez pour justifier ce changement s’appliquent, de la même façon, aux autres jours de l’Omer, par exemple quand on écrit une lettre, et également à Lag Baomer. Selon l’explication de la ‘Hassidout, les jours précédant importent également, car le raffinement et l’effort(8) se font par étapes. On ne peut pas parvenir à “ Hod de Hod ”(9) sans avoir franchi, auparavant, tous les stades préalables.
De vous à moi, je ne vois qu’une seule explication à ce changement et elle est particulièrement simple. Selon différents avis, on doit employer le Beth(5) pour faire le compte(10) et le fait nouveau est que nous comptons précisément avec un Lamed(6). Il est clair que, pour le compte proprement dit, on doit intégrer les différences qui existent, selon que l’on dit Baomer ou Laomer. En revanche, cela est moins important pour ce qui n’est pas aussi précis(11), par exemple la date que l'on inscrit sur les lettres.
Ainsi, dans les trois premières parties du Tanya(12), on cite des versets illustrant le propos exposé, alors que, dans Iguéret Hakodech(13), on ne le fait pas, comme je l’indique dans l’avant propos de l’index du Tanya. Pour une raison évidente(14), je n’ai pas voulu diffuser largement cette explication.
G) Je vous joins la suite de la note sur l’emprisonnement(15) qui, à n’en pas douter, vous intéressera.
Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
N. B. : Je viens d’apprendre que le fonds de sauvetage se réunira, lundi prochain. J’ai demandé qu’un télégramme vous soit adressé à ce sujet et, par votre intermédiaire, également au Rav Hutner, qui est sûrement en contact avec eux(16), afin qu’une intervention soit faite pour le soutien de l’Encyclopédie. En effet, on leur demande, cette année, de distribuer moins de subventions que l’an dernier. Un effort particulier est donc nécessaire, qui se révélera peut-être efficace.
Concernant la différence entre le Beth et le Lamed, précédemment évoquée, vous consulterez également Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 13.
J’évoquais, dans ma précédente lettre(17), le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, au chapitre 158 :
A) Le Toureï Zahav lui-même, et non uniquement l’avis qu’il rapporte, adopte une position plus conciliante que le Gaon de Vilna, dont l’Admour Hazaken précise la position dans son Choul’han Arou’h, chapitre 158, paragraphe 7.
En effet, il souligne, à différentes reprises, que “ dès lors qu’il réalise une action pour en faire un liquide…, grâce à cette action pour en faire un liquide ”. Il n’en est pas de même pour le Maguen Avraham, qui dit : “ En les liquéfiant, il pensera uniquement à en faire un aliment ”.
De ce fait, le Toureï Zahav et le Maguen Avraham ont des avis divergents sur tous les cas intermédiaires qui peuvent être déterminés entre ces deux extrêmes, par exemple si l’on pense à en faire à la fois un aliment et un liquide, auquel cas il n’y pas d’acte déterminant(18). Tout dépend donc de l’action qu’on réalise par la suite. Et, l'on peut encore trouver d’autres exemples.
B) D’où l’Admour Hazaken déduit-il qu’il faut interpréter les paroles du Maguen Avraham de cette façon ? Cela importe peu, pour notre propos. En effet, quel que soit l’avis personnel du Toureï Zahav, le Maguen Avraham discute, en fait, celui qu’il rapporte. Il faut en conclure que l’Admour Hazaken a une preuve que cette explication est la bonne et ne considère pas uniquement que l’on est incapable de trouver une autre explication.
Cette preuve est peut-être la suivante. Le Maguen Avraham cite, pour étayer son raisonnement, le lavage des mains dont il est question au traité Chabbat 19b : “ Le miel est, d’emblée, un liquide et, en l’occurrence, également un liquide ”.
C) Vous relevez l’expression suivante de l’Admour Hazaken, “ il adopte une position conciliante également en la matière ”. Il est clair que ceci se rapporte à ce qui a été dit auparavant : “ Néanmoins, il pourra le consommer avec une cuillère ou un couteau ”, qu’il reprend pratiquement mot pour mot en disant : “ On peut adopter une position conciliante, en la matière, s’il le fait avec une cuillère ou avec un couteau ”.
D) L’idée que la pensée d’un non-Juif restera sans effet, lors de la liquéfaction, que je cite seulement de manière accessoire, peut être expliquée de la façon suivante. Pour un non-Juif, il importe peu que cela soit, par la suite, un aliment ou un liquide. Il n’en est pas de même dans votre raisonnement, comme si la question et le doute ne se posaient pas encore, comme si l'on n'était pas encore en mesure de fixer une position et de décider. On peut citer plusieurs exemples, à ce sujet.
De même, on peut penser que l’utilité de la pensée est conditionnée par le fait que celui qui l’a est bien le propriétaire(19). C’est pour cela que, dans différents domaines, la pensée du non-Juif n’est pas prise en compte, comme l’explique le Tsafnat Paanéa’h, dans le complément du tome 4, page 14. Tout ceci ne sera pas développé ici.
Notes
(1) Le Rav Chlomo Yossef Zevin, de Jérusalem, auteur de l'Encyclopédie talmudique. Voir, à son sujet, la lettre n°3405.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3489.
(3) Textuellement “ l’ombre qui n’a pas d’ombre ”, c’est-à-dire l’essence de l’âme juive, qui n’a pas son équivalent, dans les forces du mal.
(4) De Rabbi Hillel de Paritch, l’un des grands disciples de l’Admour Haémtsahi et du Tséma’h Tsédek.
(5) Baomer.
(6) Laomer.
(7) Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 7, page 337.
(8) De cette période de l’Omer.
(9) Le compte de l’Omer du jour de Lag Baomer.
(10) De chaque jour.
(11) Comme, par exemple, la date d'une lettre ou même la manière dont on appelle ce jour, dans les discours ‘hassidiques.
(12) Qui sont des textes rédigés avec précision.
(13) Qui est un recueil de lettres.
(14) Pour ne pas introduire de différence entre les degrés de précision des textes.
(15) Du précédent Rabbi.
(16) Avec les membres de ce comité.
(17) Il s’agit de la lettre n°3452, qui tendait à déterminer à partir de quand le miel peut être considéré comme un liquide.
(18) Pour établir quelle intention on a.
(19) Du miel.