Lettre n° 3570
Par la grâce de D.ieu,
19 Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mardi de la Parchat Beaalote'ha, dans laquelle vous exprimez votre suspicion envers telle personne, qui ne m'aurait pas transmis votre courrier.
Ce soupçon n'est pas fondé. Je reçois toutes les lettres qui sont adressées à mon nom. Je les lis personnellement, bien que la réponse parvienne, quelques fois, avec la signature d'un de mes secrétaires, en fonction de la répartition qui est faite entre eux.
Il en est de même pour la décision d'imprimer un texte, dont je ne m'occupe pas personnellement. C'est pour cela que la lettre qui vous a été adressée était signée par quelqu'un d'autre, chargé de gérer tout cela. Je vous apporte toutes ces précisions afin de supprimer tout soupçon que vous pourriez encore éprouver envers un Juif.
Pour ce qui est de la question proprement dite, chacun a reçu une mission bien précise et la diffusion des livres qui sont édités revient, en Europe, en général et en France, en particulier, au bureau, se trouvant à Paris et recevant des directives d'ici. Pour toutes ces questions, vous devez donc vous adresser exclusivement au bureau de Paris.
Vous avez sûrement entendu parler des trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Elles consistent à lire des Tehilim, chaque jour, après la prière du matin, selon leur répartition mensuelle, à étudier, chaque jour également, une Paracha du 'Houmach, avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche du début au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi, enfin à apprendre, chaque jour, un passage de Tanya, selon sa répartition annuelle. Vous garderez ces études, au moins à l'avenir.
Et, D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction,
19 Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mardi de la Parchat Beaalote'ha, dans laquelle vous exprimez votre suspicion envers telle personne, qui ne m'aurait pas transmis votre courrier.
Ce soupçon n'est pas fondé. Je reçois toutes les lettres qui sont adressées à mon nom. Je les lis personnellement, bien que la réponse parvienne, quelques fois, avec la signature d'un de mes secrétaires, en fonction de la répartition qui est faite entre eux.
Il en est de même pour la décision d'imprimer un texte, dont je ne m'occupe pas personnellement. C'est pour cela que la lettre qui vous a été adressée était signée par quelqu'un d'autre, chargé de gérer tout cela. Je vous apporte toutes ces précisions afin de supprimer tout soupçon que vous pourriez encore éprouver envers un Juif.
Pour ce qui est de la question proprement dite, chacun a reçu une mission bien précise et la diffusion des livres qui sont édités revient, en Europe, en général et en France, en particulier, au bureau, se trouvant à Paris et recevant des directives d'ici. Pour toutes ces questions, vous devez donc vous adresser exclusivement au bureau de Paris.
Vous avez sûrement entendu parler des trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Elles consistent à lire des Tehilim, chaque jour, après la prière du matin, selon leur répartition mensuelle, à étudier, chaque jour également, une Paracha du 'Houmach, avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche du début au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi, enfin à apprendre, chaque jour, un passage de Tanya, selon sa répartition annuelle. Vous garderez ces études, au moins à l'avenir.
Et, D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction,