Lettre n° 3558
Par la grâce de D.ieu,
16 Sivan 5715,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma lettre(1) soulignant la nécessité absolue de constituer un front uni de tous les partis religieux, pour les élections(2).
J’ai bon espoir que vous profiterez des dernières heures qui restent encore pour réaliser ce projet. Avec la détermination qui convient, vous trouverez sûrement le moyen de surmonter toutes les difficultés, en la matière.
Avec ma bénédiction,
M. S. de Loubavitch(3),
Notes
(1) Voir la lettre n°3503.
(2) En Israël.
(3) Mena’hem Schneerson de Loubavitch.
3558*
Par la grâce de D.ieu,
16 Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du dimanche de la Parchat Beaalote’ha, qui faisait suite à un long silence. Certes, vous auriez dû être plus joyeux, alors que vous vous plaignez du fait que vos dettes ont augmenté de quelques centaines de dollars. J’en déduis que votre état de santé est bon et que tout le reste va bien.
Or, une dette n’est que passagère, pour une courte période. Il n’y a donc pas lieu de perdre la joie, de ce fait. Bien plus, vous avez eu un motif de vous réjouir, puisque votre fille et son mari ont célébré le Pidyon Ha Ben de leur fils.
Néanmoins, je ne suis pas réellement surpris que vous vous fassiez tant de soucis pour une dette de quelques centaines de dollars. La raison en est la suivante. Vous ne participez pas assez souvent aux réunions ‘hassidiques, qui rafraîchissent l’âme divine et permettent de s’élever au dessus de l’existence quotidienne. Même si l’effet de ces réunions n’est que passager, il est ressenti, profondément, pendant beaucoup plus longtemps et il se manifeste en différentes occasions.
Concernant la dette proprement dite, nos Sages donnent le conseil suivant : “ le sel diminue les moyens matériels ”, ce qui veut dire que, lorsqu’on manque d’argent, on doit donner plus de Tsédaka. C’est ainsi que l’on gagne plus largement sa vie. Car, D.ieu a donné l’assurance que “ tu prélèveras la dîme pour t’enrichir ”.
On ne peut pas toujours demander à D.ieu d’accorder Sa confiance et de donner l’opulence matérielle, pour qu’ensuite l’homme parvienne à surmonter l’épreuve. On peut également procéder à l’inverse, donner d’abord un plus large montant à la Tsédaka, en étant certain que D.ieu tiendra parole.
Que D.ieu vous accorde la réussite de donner beaucoup de Tsédaka, avec un cœur joyeux, de lire scrupuleusement des Tehilim chaque jour après la prière, selon leur répartition mensuelle, de participer aux enseignements publics. Ceci hâtera les bonnes nouvelles que vous pourrez annoncer dans tous ces domaines.
Avec ma bénédiction,
16 Sivan 5715,
Brooklyn, New York,
Je vous salue et vous bénis,
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma lettre(1) soulignant la nécessité absolue de constituer un front uni de tous les partis religieux, pour les élections(2).
J’ai bon espoir que vous profiterez des dernières heures qui restent encore pour réaliser ce projet. Avec la détermination qui convient, vous trouverez sûrement le moyen de surmonter toutes les difficultés, en la matière.
Avec ma bénédiction,
M. S. de Loubavitch(3),
Notes
(1) Voir la lettre n°3503.
(2) En Israël.
(3) Mena’hem Schneerson de Loubavitch.
3558*
Par la grâce de D.ieu,
16 Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du dimanche de la Parchat Beaalote’ha, qui faisait suite à un long silence. Certes, vous auriez dû être plus joyeux, alors que vous vous plaignez du fait que vos dettes ont augmenté de quelques centaines de dollars. J’en déduis que votre état de santé est bon et que tout le reste va bien.
Or, une dette n’est que passagère, pour une courte période. Il n’y a donc pas lieu de perdre la joie, de ce fait. Bien plus, vous avez eu un motif de vous réjouir, puisque votre fille et son mari ont célébré le Pidyon Ha Ben de leur fils.
Néanmoins, je ne suis pas réellement surpris que vous vous fassiez tant de soucis pour une dette de quelques centaines de dollars. La raison en est la suivante. Vous ne participez pas assez souvent aux réunions ‘hassidiques, qui rafraîchissent l’âme divine et permettent de s’élever au dessus de l’existence quotidienne. Même si l’effet de ces réunions n’est que passager, il est ressenti, profondément, pendant beaucoup plus longtemps et il se manifeste en différentes occasions.
Concernant la dette proprement dite, nos Sages donnent le conseil suivant : “ le sel diminue les moyens matériels ”, ce qui veut dire que, lorsqu’on manque d’argent, on doit donner plus de Tsédaka. C’est ainsi que l’on gagne plus largement sa vie. Car, D.ieu a donné l’assurance que “ tu prélèveras la dîme pour t’enrichir ”.
On ne peut pas toujours demander à D.ieu d’accorder Sa confiance et de donner l’opulence matérielle, pour qu’ensuite l’homme parvienne à surmonter l’épreuve. On peut également procéder à l’inverse, donner d’abord un plus large montant à la Tsédaka, en étant certain que D.ieu tiendra parole.
Que D.ieu vous accorde la réussite de donner beaucoup de Tsédaka, avec un cœur joyeux, de lire scrupuleusement des Tehilim chaque jour après la prière, selon leur répartition mensuelle, de participer aux enseignements publics. Ceci hâtera les bonnes nouvelles que vous pourrez annoncer dans tous ces domaines.
Avec ma bénédiction,