Lettre n° 3556
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5715,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim de Lod,
Aux dirigeants des écoles professionnelles en Terre Sainte,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Plusieurs, parmi les élèves des écoles professionnelles, ont treize ou quatorze ans et ils sont donc trop jeunes pour se contenter de quelques heures d’études sacrées par jour, consacrant toutes les autres aux études séculaires. Certes, les Sefardim ne sont pas habitués à cela(1) et peut-être même menace-t-on d’envoyer les enfants dans d’autres écoles(2). Malgré cela, une action auprès des élèves reste nécessaire, même s’ils sont déjà acceptés à l’école professionnelle. Ils peuvent, en effet, interrompre leurs études pendant quelques temps et se rendre à Lod ou à Tel Aviv, afin de compléter leurs connaissances de la Torah.
Concernant les bâtiments de Tibériade(3) et l’idée d’ouvrir, là-bas, une Yechiva, il semble que le problème soit complexe, de tous les points de vue, du fait des propriétaires des terrains, de ceux des édifices. A ceci s’ajoute, en particulier, la difficulté de l’éloignement. Il faudrait donc reprendre ce dossier depuis son début et se demander si les tracas et les démarches nécessaires sont justifiés pour obtenir un résultat douteux, à divers titres.
A la place de tout cela, il est préférable d’investir son ardeur dans le recrutement de nouveaux élèves, pour les bâtiments du Kfar qui sont libérés par ceux qui se rendent dans la nouvelle implantation(4). Ceci permettra de répondre à plusieurs questions à la fois. Par ailleurs, la surveillance et l’alimentation en seront considérablement simplifiées. On peut imaginer qu’il sera également plus facile d’obtenir l’aide des différentes administrations, puisque le Kfar est déjà subventionné pour des institutions similaires. De plus, plusieurs personnes envisagent, d’une manière particulière, tout ce qui concerne le Kfar.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabi Chlita,
le secrétaire,
A. Kwint,
Notes
(1) A une étude intensive de la Torah.
(2) Les parents, si l’on impose des études sacrées trop importantes.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°3471 et 3472.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°3498.
15 Sivan 5715,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim de Lod,
Aux dirigeants des écoles professionnelles en Terre Sainte,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Plusieurs, parmi les élèves des écoles professionnelles, ont treize ou quatorze ans et ils sont donc trop jeunes pour se contenter de quelques heures d’études sacrées par jour, consacrant toutes les autres aux études séculaires. Certes, les Sefardim ne sont pas habitués à cela(1) et peut-être même menace-t-on d’envoyer les enfants dans d’autres écoles(2). Malgré cela, une action auprès des élèves reste nécessaire, même s’ils sont déjà acceptés à l’école professionnelle. Ils peuvent, en effet, interrompre leurs études pendant quelques temps et se rendre à Lod ou à Tel Aviv, afin de compléter leurs connaissances de la Torah.
Concernant les bâtiments de Tibériade(3) et l’idée d’ouvrir, là-bas, une Yechiva, il semble que le problème soit complexe, de tous les points de vue, du fait des propriétaires des terrains, de ceux des édifices. A ceci s’ajoute, en particulier, la difficulté de l’éloignement. Il faudrait donc reprendre ce dossier depuis son début et se demander si les tracas et les démarches nécessaires sont justifiés pour obtenir un résultat douteux, à divers titres.
A la place de tout cela, il est préférable d’investir son ardeur dans le recrutement de nouveaux élèves, pour les bâtiments du Kfar qui sont libérés par ceux qui se rendent dans la nouvelle implantation(4). Ceci permettra de répondre à plusieurs questions à la fois. Par ailleurs, la surveillance et l’alimentation en seront considérablement simplifiées. On peut imaginer qu’il sera également plus facile d’obtenir l’aide des différentes administrations, puisque le Kfar est déjà subventionné pour des institutions similaires. De plus, plusieurs personnes envisagent, d’une manière particulière, tout ce qui concerne le Kfar.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabi Chlita,
le secrétaire,
A. Kwint,
Notes
(1) A une étude intensive de la Torah.
(2) Les parents, si l’on impose des études sacrées trop importantes.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°3471 et 3472.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°3498.