Lettre n° 3494
Par la grâce de D.ieu,
20 Iyar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de Pessa’h Cheni, dans laquelle vous m’écrivez que vous avez rejoint la Yechiva Torat Emet(1).
Puisse D.ieu faire que cela soit en un moment bon et fructueux. Vous y étudierez la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout avec une ardeur et un enthousiasme véritables et vous exercerez une influence positive sur vos amis, afin qu’ils en fassent de même.
Il est sans doute inutile d’expliquer longuement que l’on obtient l’aide de D.ieu, en la matière, en guidant son entourage, en le rapprochant de la Torah et des Mitsvot, en général, de la ‘Hassidout, de ses pratiques et de ses usages, en particulier. En effet, le Saint béni soit-Il agit “ mesure pour mesure ”(2), mais en proportion largement accrue.
J’ai reçu, en leur temps, vos deux précédents courriers. Vous me dites que, dans la synagogue où vous lisez la Torah, il est d’usage que le lecteur porte un Talith, à l’inverse de notre coutume(3). On attend de vous que vous adoptiez cette pratique et vous me demandez que faire.
Vous le porterez effectivement, car, d’une part, il appartient à l’individu de se conformer à la communauté et, d’autre part, le port du grand Talith est également une marque de déférence envers les présents, selon le Maguen Avraham, chapitre 18, paragraphe 2, dès lors que ceux-ci, ou la plupart d’entre eux, le désirent. Il ne faut donc pas leur manquer de respect en refusant de le porter.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) A Jérusalem.
(2) De la manière dont l’homme agit envers Lui.
(3) Si le lecteur de la Torah n’est pas marié, il ne porte pas le grand Talith, pendant cette lecture.
20 Iyar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de Pessa’h Cheni, dans laquelle vous m’écrivez que vous avez rejoint la Yechiva Torat Emet(1).
Puisse D.ieu faire que cela soit en un moment bon et fructueux. Vous y étudierez la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout avec une ardeur et un enthousiasme véritables et vous exercerez une influence positive sur vos amis, afin qu’ils en fassent de même.
Il est sans doute inutile d’expliquer longuement que l’on obtient l’aide de D.ieu, en la matière, en guidant son entourage, en le rapprochant de la Torah et des Mitsvot, en général, de la ‘Hassidout, de ses pratiques et de ses usages, en particulier. En effet, le Saint béni soit-Il agit “ mesure pour mesure ”(2), mais en proportion largement accrue.
J’ai reçu, en leur temps, vos deux précédents courriers. Vous me dites que, dans la synagogue où vous lisez la Torah, il est d’usage que le lecteur porte un Talith, à l’inverse de notre coutume(3). On attend de vous que vous adoptiez cette pratique et vous me demandez que faire.
Vous le porterez effectivement, car, d’une part, il appartient à l’individu de se conformer à la communauté et, d’autre part, le port du grand Talith est également une marque de déférence envers les présents, selon le Maguen Avraham, chapitre 18, paragraphe 2, dès lors que ceux-ci, ou la plupart d’entre eux, le désirent. Il ne faut donc pas leur manquer de respect en refusant de le porter.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) A Jérusalem.
(2) De la manière dont l’homme agit envers Lui.
(3) Si le lecteur de la Torah n’est pas marié, il ne porte pas le grand Talith, pendant cette lecture.