Lettre n° 3473
Par la grâce de D.ieu,
12 Iyar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Iyar. Je vous remercie de m’avoir au moins rapporté que les élèves ont organisé une réunion ‘hassidique, avec le recteur de la Yechiva, au cours de laquelle a été distribué le vin du repas du dernier jour de Pessa’h, celui du Machia’h(1).
On a sûrement rappelé aux élèves le point le plus important, qui est l’action concrète, en l’occurrence la constance et l’ardeur nécessaires pour l’étude de la Torah. En effet, bouger les lèvres est bien une action concrète, comme l’explique le Tanya, au chapitre 37. De même, les Mitsvot doivent être mises en pratique de la meilleure façon.
Vous évoquez une personne qui, pour l’heure, n’a pas les moyens d’assurer sa subsistance matérielle. Si l’on n’était pas resté indifférent, lorsque la subsistance spirituelle lui manquait également, on n’en serait pas là ! Car, c’est bien la raison de ce manque matériel. Les deux éléments sont liés.
Il faut donc renforcer sa subsistance morale et vous-mêmes, devez consentir des efforts en ce sens, dans toute la mesure du possible, par l’intermédiaire de tous ceux que vous mentionnez dans votre lettre, à ce sujet.
Alors, D.ieu lui accordera la bénédiction pour sa subsistance matérielle. Vous connaissez, en effet, le récit et la décision de l’Admour Hazaken(2) : “ Tu ne parles que de ce dont tu as besoin. En revanche, tu ne dis rien de ce pour quoi l’on a besoin de toi ”. Et, l’issue de ce récit montre qu’en faisant ce que l’on doit faire, on obtient la satisfaction de tous ses besoins, dans la largesse.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit et puisse D.ieu faire que cela soit au plus vite,
Notes
(1) Le vin que le Rabbi avait donné pour eux, lors de la distribution, à l’issue de la réunion ‘hassidique du repas du Machia’h.
(2) Voir, à ce sujet, les lettres n°2547, 3496, 3509 et 3511.
12 Iyar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Iyar. Je vous remercie de m’avoir au moins rapporté que les élèves ont organisé une réunion ‘hassidique, avec le recteur de la Yechiva, au cours de laquelle a été distribué le vin du repas du dernier jour de Pessa’h, celui du Machia’h(1).
On a sûrement rappelé aux élèves le point le plus important, qui est l’action concrète, en l’occurrence la constance et l’ardeur nécessaires pour l’étude de la Torah. En effet, bouger les lèvres est bien une action concrète, comme l’explique le Tanya, au chapitre 37. De même, les Mitsvot doivent être mises en pratique de la meilleure façon.
Vous évoquez une personne qui, pour l’heure, n’a pas les moyens d’assurer sa subsistance matérielle. Si l’on n’était pas resté indifférent, lorsque la subsistance spirituelle lui manquait également, on n’en serait pas là ! Car, c’est bien la raison de ce manque matériel. Les deux éléments sont liés.
Il faut donc renforcer sa subsistance morale et vous-mêmes, devez consentir des efforts en ce sens, dans toute la mesure du possible, par l’intermédiaire de tous ceux que vous mentionnez dans votre lettre, à ce sujet.
Alors, D.ieu lui accordera la bénédiction pour sa subsistance matérielle. Vous connaissez, en effet, le récit et la décision de l’Admour Hazaken(2) : “ Tu ne parles que de ce dont tu as besoin. En revanche, tu ne dis rien de ce pour quoi l’on a besoin de toi ”. Et, l’issue de ce récit montre qu’en faisant ce que l’on doit faire, on obtient la satisfaction de tous ses besoins, dans la largesse.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit et puisse D.ieu faire que cela soit au plus vite,
Notes
(1) Le vin que le Rabbi avait donné pour eux, lors de la distribution, à l’issue de la réunion ‘hassidique du repas du Machia’h.
(2) Voir, à ce sujet, les lettres n°2547, 3496, 3509 et 3511.