Lettre n° 3407
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du début de Chevat, qui m’est parvenue avec retard. J’ai mentionné votre nom et celui de tous les membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A n’en pas douter, il invoquera la miséricorde divine pour que vous obteniez la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels.
Je suis satisfait de ce que vous me rapportez de vos activités communautaires. Vous dites que vous n’en observez pas immédiatement le résultat. Il est clair que cette plainte émane de “ l’autre côté ”, qui sait, avec habilité, choisir les arguments susceptibles de convaincre chacun, comme le dit le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan.
On peut déterminer l’origine de ces arguments en observant s’ils font obstacle à la Torah et aux Mitsvot, ou bien l’affaiblissent. Si c’est effectivement le cas, ils émanent bien de “ l’autre côté ” et vous les écarterez totalement. Vous redoublerez d’ardeur dans votre enseignement et dans votre étude personnelle.
Nous sommes “ des travailleurs du jour ” et que D.ieu fasse ce qui est droit à Ses yeux. Sans doute observerez-vous la réussite, le moment venu. Comme le dit le verset, D.ieu fit que tout vienne en son temps.
Ce qui vient d’être exposé établit également que vos craintes, dont vous faites état dans votre lettre, ne sont que le produit de la ruse et des stratagèmes du mauvais penchant. C’est là sa raison d’être. Vous devez donc vous emporter contre lui, comme l’explique le Tanya. Dès lors, il fondra comme de la cire. Vous prendrez conscience de la vérité et vous observerez alors que D.ieu vous garde, comme il le fait pour chaque Juif, qu’Il vous accorde Sa Providence. Vous pouvez donc vous en remettre à Lui.
A l’approche de la fête des Matsot, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous souhaite de la célébrer, avec tous les membres de votre famille, de manière cachère et joyeuse.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
13 Nissan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du début de Chevat, qui m’est parvenue avec retard. J’ai mentionné votre nom et celui de tous les membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A n’en pas douter, il invoquera la miséricorde divine pour que vous obteniez la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels.
Je suis satisfait de ce que vous me rapportez de vos activités communautaires. Vous dites que vous n’en observez pas immédiatement le résultat. Il est clair que cette plainte émane de “ l’autre côté ”, qui sait, avec habilité, choisir les arguments susceptibles de convaincre chacun, comme le dit le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan.
On peut déterminer l’origine de ces arguments en observant s’ils font obstacle à la Torah et aux Mitsvot, ou bien l’affaiblissent. Si c’est effectivement le cas, ils émanent bien de “ l’autre côté ” et vous les écarterez totalement. Vous redoublerez d’ardeur dans votre enseignement et dans votre étude personnelle.
Nous sommes “ des travailleurs du jour ” et que D.ieu fasse ce qui est droit à Ses yeux. Sans doute observerez-vous la réussite, le moment venu. Comme le dit le verset, D.ieu fit que tout vienne en son temps.
Ce qui vient d’être exposé établit également que vos craintes, dont vous faites état dans votre lettre, ne sont que le produit de la ruse et des stratagèmes du mauvais penchant. C’est là sa raison d’être. Vous devez donc vous emporter contre lui, comme l’explique le Tanya. Dès lors, il fondra comme de la cire. Vous prendrez conscience de la vérité et vous observerez alors que D.ieu vous garde, comme il le fait pour chaque Juif, qu’Il vous accorde Sa Providence. Vous pouvez donc vous en remettre à Lui.
A l’approche de la fête des Matsot, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous souhaite de la célébrer, avec tous les membres de votre famille, de manière cachère et joyeuse.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,