Lettre n° 3380
Par la grâce de D.ieu,
Veille de Roch ‘Hodech Nissan 5715,
Brooklyn, New York,
A monsieur Moché Kol(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre en son temps. Je vous remercie d’avoir pris la peine de m’écrire, à propos de la fête de Kfar ‘Habad, à laquelle vous avez participé. A toute époque, on souhaite obtenir des nouvelles réjouissantes et combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle.
J’ai pris connaissance avec plaisir, dans votre lettre, de l’avancement des travaux d’édification du bâtiment pour l’intégration des jeunes, dans le Kfar(2). Actuellement et également dans l’avenir, à court terme, il ne semble pas que j’aurai la possibilité de venir, en visite, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, malgré le bien qui pourrait en résulter.
Comme vous le dites dans votre lettre, je suis sûr que l’édification de ce bâtiment ne connaîtra pas de retard, ce qu’à D.ieu ne plaise, bien au contraire. A n’en pas douter, vous ferez, pour votre part, tout ce qui est en votre pouvoir afin d’activer les différentes étapes de cette construction. Il est dommage que l’on ait été retardé jusqu’à maintenant.
Il est sûrement inutile de vous remercier pour votre aide. En effet, la gratitude est exprimée par la réalisation elle-même et, comme le soulignent nos Sages, “ la récompense de la Mitsva est la Mitsva elle-même ”.
A l’occasion de la fête de Pessa’h, temps de notre liberté, qui approche, je formule des vœux pour que chacun d’entre nous connaisse une liberté véritable, liberté de l’assujettissement physique et de l’assujettissement moral. Ainsi, tous pourront faire usage de leurs capacités pour leur bien propre et pour celui des autres, auxquels on apportera les moyens de se libérer de tout ce qui occulte la plénitude, matérielle et spirituelle de l’homme, ou lui fait entrave.
Avec mes respects et ma bénédiction pour une bonne fête,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°1985.
(2) Kfar ‘Habad.
Veille de Roch ‘Hodech Nissan 5715,
Brooklyn, New York,
A monsieur Moché Kol(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre en son temps. Je vous remercie d’avoir pris la peine de m’écrire, à propos de la fête de Kfar ‘Habad, à laquelle vous avez participé. A toute époque, on souhaite obtenir des nouvelles réjouissantes et combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle.
J’ai pris connaissance avec plaisir, dans votre lettre, de l’avancement des travaux d’édification du bâtiment pour l’intégration des jeunes, dans le Kfar(2). Actuellement et également dans l’avenir, à court terme, il ne semble pas que j’aurai la possibilité de venir, en visite, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, malgré le bien qui pourrait en résulter.
Comme vous le dites dans votre lettre, je suis sûr que l’édification de ce bâtiment ne connaîtra pas de retard, ce qu’à D.ieu ne plaise, bien au contraire. A n’en pas douter, vous ferez, pour votre part, tout ce qui est en votre pouvoir afin d’activer les différentes étapes de cette construction. Il est dommage que l’on ait été retardé jusqu’à maintenant.
Il est sûrement inutile de vous remercier pour votre aide. En effet, la gratitude est exprimée par la réalisation elle-même et, comme le soulignent nos Sages, “ la récompense de la Mitsva est la Mitsva elle-même ”.
A l’occasion de la fête de Pessa’h, temps de notre liberté, qui approche, je formule des vœux pour que chacun d’entre nous connaisse une liberté véritable, liberté de l’assujettissement physique et de l’assujettissement moral. Ainsi, tous pourront faire usage de leurs capacités pour leur bien propre et pour celui des autres, auxquels on apportera les moyens de se libérer de tout ce qui occulte la plénitude, matérielle et spirituelle de l’homme, ou lui fait entrave.
Avec mes respects et ma bénédiction pour une bonne fête,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°1985.
(2) Kfar ‘Habad.