Lettre n° 3379
Par la grâce de D.ieu,
29 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre recommandée des 16 et 17(1) Adar. Vous faites état de vos différentes craintes, quant au recours à tel hôpital et à telle manière d’agir. Oubliez tout cela et redoublez d’ardeur dans la diffusion de l’enseignement de la ‘Hassidout, de ses usages et de ses pratiques, “ car telle est la finalité de l’homme ”. Comme le disent nos saints maîtres, en particulier mon beau-père, le Rabbi et comme le cite le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan, tout ce qui va à l’encontre de cette mission, tous les doutes comparables à ceux que vous éprouvez, émanent d’une source qui n’est pas pure. Il faut donc les écarter.
La pensée fonctionne en permanence et, pour supprimer celle qui est indésirable, il faut avoir une bonne pensée, portant sur des domaines positifs, d’un bien véritable, celui qui est “ bon pour les cieux et bon pour les créatures ”, qui est l’un des fondements de la ‘Hassidout, selon laquelle l’amour du prochain et l’amour de D.ieu ne font qu’un, grâce à l’amour de la Torah, unifiant “ les habitants de Rome et ceux de la Syrie ”(2), comme l’expliquent plusieurs textes de ‘Hassidout.
Vous me décrivez, dans ses grandes lignes, ce qu’a été cette réunion ‘hassidique, qui a eu lieu en un moment propice et j’en suis satisfait, bien que vous ne précisiez pas ce qui est fait pour l’élargir, quantitativement et qualitativement. En effet, “ on connaît l’élévation dans le domaine de la Sainteté ”.
Vous savez également ce que nous avons entendu(3) de mon beau-père, le Rabbi. Il disait que l’action, à l’heure actuelle, pouvait être comparée à l’escalade d’une pente abrupte. En pareil cas, il est impossible de s’immobiliser et de faire du sur place. Si l’on cesse de grimper…(4). Bien plus, on peut constater, dans la pratique, de la manière la plus précise, qu’il en est bien ainsi, lorsque l’on se trouve dans un pays où la diffusion des sources(5) a commencé dernièrement. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins ce qui a été édité dernièrement. Sans doute en mettrez-vous le contenu à la disposition du plus grand nombre.
Je vous adresse ma bénédiction pour que vous ayez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse. Et, que s’accomplisse la promesse du Ari Zal(6) selon laquelle la prudence, en la matière(7), est efficace tout au long de l’année(8).
Notes
(1) Le Rabbi écrit Tov, bon, mot dont la valeur numérique est dix sept.
(2) L’esprit et la matière.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2428.
(4) On connaît la chute !
(5) De la ‘Hassidout.
(6) Voir le Béer Hétev, au début du chapitre 447.
(7) Le fait de ne pas consommer de ‘Hamets à Pessa’h, même dans la quantité la plus infime.
(8) Permet de se préserver des fautes, pendant toute l’année.
29 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre recommandée des 16 et 17(1) Adar. Vous faites état de vos différentes craintes, quant au recours à tel hôpital et à telle manière d’agir. Oubliez tout cela et redoublez d’ardeur dans la diffusion de l’enseignement de la ‘Hassidout, de ses usages et de ses pratiques, “ car telle est la finalité de l’homme ”. Comme le disent nos saints maîtres, en particulier mon beau-père, le Rabbi et comme le cite le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan, tout ce qui va à l’encontre de cette mission, tous les doutes comparables à ceux que vous éprouvez, émanent d’une source qui n’est pas pure. Il faut donc les écarter.
La pensée fonctionne en permanence et, pour supprimer celle qui est indésirable, il faut avoir une bonne pensée, portant sur des domaines positifs, d’un bien véritable, celui qui est “ bon pour les cieux et bon pour les créatures ”, qui est l’un des fondements de la ‘Hassidout, selon laquelle l’amour du prochain et l’amour de D.ieu ne font qu’un, grâce à l’amour de la Torah, unifiant “ les habitants de Rome et ceux de la Syrie ”(2), comme l’expliquent plusieurs textes de ‘Hassidout.
Vous me décrivez, dans ses grandes lignes, ce qu’a été cette réunion ‘hassidique, qui a eu lieu en un moment propice et j’en suis satisfait, bien que vous ne précisiez pas ce qui est fait pour l’élargir, quantitativement et qualitativement. En effet, “ on connaît l’élévation dans le domaine de la Sainteté ”.
Vous savez également ce que nous avons entendu(3) de mon beau-père, le Rabbi. Il disait que l’action, à l’heure actuelle, pouvait être comparée à l’escalade d’une pente abrupte. En pareil cas, il est impossible de s’immobiliser et de faire du sur place. Si l’on cesse de grimper…(4). Bien plus, on peut constater, dans la pratique, de la manière la plus précise, qu’il en est bien ainsi, lorsque l’on se trouve dans un pays où la diffusion des sources(5) a commencé dernièrement. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins ce qui a été édité dernièrement. Sans doute en mettrez-vous le contenu à la disposition du plus grand nombre.
Je vous adresse ma bénédiction pour que vous ayez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse. Et, que s’accomplisse la promesse du Ari Zal(6) selon laquelle la prudence, en la matière(7), est efficace tout au long de l’année(8).
Notes
(1) Le Rabbi écrit Tov, bon, mot dont la valeur numérique est dix sept.
(2) L’esprit et la matière.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2428.
(4) On connaît la chute !
(5) De la ‘Hassidout.
(6) Voir le Béer Hétev, au début du chapitre 447.
(7) Le fait de ne pas consommer de ‘Hamets à Pessa’h, même dans la quantité la plus infime.
(8) Permet de se préserver des fautes, pendant toute l’année.