Lettre n° 3360
Par la grâce de D.ieu,
19 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Adar, à laquelle une demande de bénédiction était jointe. Vous me dites que vous constatez des hauts et des bas, dans votre service de D.ieu. Et, vous dites que vous en avez la tête qui tourne.
Ces hauts et ces bas sont particulièrement fréquents, si ce n’est pour une élite. Il appartient donc à l’homme de transformer la descente, de lui permettre d’aboutir à la montée particulièrement importante qui la suivra. Et, le résultat est à la mesure de l’effort. Il est certain que chacun dispose des forces dont il a besoin, en fonction de sa nature.
Vous me dites que vous récitez la première moitié de la prière avec inspiration et que vous avez ensuite la tête lourde. En pareil cas, il faut se reposer, même au milieu de la prière, bien évidemment de manière permise par le Choul’han Arou’h et conforme au Choul’han Arou’h ‘hassidique.
En effet, un homme doit préserver sa santé, comme l’établit l’explication du Baal Chem Tov sur le verset “ tu lui viendras en aide ”, c’est-à-dire au corps. Ce dernier doit donc être en bonne santé, selon l’avis de la Torah.
Certes, en la matière, il convient d’être vigilant et de se méfier des interventions et des stratagèmes du mauvais penchant. Pour autant, il faut garder la mesure et il est inutile d’en faire trop. Vous consulterez sûrement votre guide spirituel et vous vous conformerez à son avis.
Que D.ieu vous permette d’avoir une âme forte dans un corps fort. Vous m’annoncerez de bonnes nouvelles et vous me direz que vous connaissez la réussite dans votre étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, dans la pratique des Mitsvot et surtout de celle qui est la plus essentielle et la plus fondamentale, la prière fervente.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
19 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Adar, à laquelle une demande de bénédiction était jointe. Vous me dites que vous constatez des hauts et des bas, dans votre service de D.ieu. Et, vous dites que vous en avez la tête qui tourne.
Ces hauts et ces bas sont particulièrement fréquents, si ce n’est pour une élite. Il appartient donc à l’homme de transformer la descente, de lui permettre d’aboutir à la montée particulièrement importante qui la suivra. Et, le résultat est à la mesure de l’effort. Il est certain que chacun dispose des forces dont il a besoin, en fonction de sa nature.
Vous me dites que vous récitez la première moitié de la prière avec inspiration et que vous avez ensuite la tête lourde. En pareil cas, il faut se reposer, même au milieu de la prière, bien évidemment de manière permise par le Choul’han Arou’h et conforme au Choul’han Arou’h ‘hassidique.
En effet, un homme doit préserver sa santé, comme l’établit l’explication du Baal Chem Tov sur le verset “ tu lui viendras en aide ”, c’est-à-dire au corps. Ce dernier doit donc être en bonne santé, selon l’avis de la Torah.
Certes, en la matière, il convient d’être vigilant et de se méfier des interventions et des stratagèmes du mauvais penchant. Pour autant, il faut garder la mesure et il est inutile d’en faire trop. Vous consulterez sûrement votre guide spirituel et vous vous conformerez à son avis.
Que D.ieu vous permette d’avoir une âme forte dans un corps fort. Vous m’annoncerez de bonnes nouvelles et vous me direz que vous connaissez la réussite dans votre étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, dans la pratique des Mitsvot et surtout de celle qui est la plus essentielle et la plus fondamentale, la prière fervente.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,