Lettre n° 3359
Par la grâce de D.ieu,
19 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites qu’il vous est très difficile de voir votre fils souffrir. J’ai des scrupules à vous faire de la peine, mais je dois vous faire part de ce qui me semble être la vérité.
Le saint Zohar, reproduit par le Tséma’h Tsédek dans différents textes, explique que le fait de se laisser pousser la barbe est une pratique propice pour connaître l’opulence matérielle, par la bonté de D.ieu, en supprimant les obstacles et les voiles, dans ce domaine. Et, puisse D.ieu faire que ceux qui ont adopté une attitude négative envers votre fils, du fait de sa barbe, cessent d’exercer des pressions sur lui.
Il est clair que l’on ne peut comparer la période où il n’avait pas encore de barbe à celle où, après l’avoir laissé pousser, il l’a coupée. Or, il la portait joyeusement et sans contrainte. Malheureusement, on assiste, en l’occurrence, au moins de manière passagère, à la réalisation du verset : “ Des mères miséricordieuses ont ébouillanté leurs enfants ”.
Que le D.ieu miséricordieux, Source de la pitié et de la bonté, mette un terme aux difficultés qui ont été suscitées de cette façon. Qu’à l’avenir, la situation de votre fils soit bonne, puis encore meilleure, y compris dans sa dimension matérielle. Conformément au dicton bien connu du Rabbi, “ il ira du bien vers le mieux ”.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
19 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites qu’il vous est très difficile de voir votre fils souffrir. J’ai des scrupules à vous faire de la peine, mais je dois vous faire part de ce qui me semble être la vérité.
Le saint Zohar, reproduit par le Tséma’h Tsédek dans différents textes, explique que le fait de se laisser pousser la barbe est une pratique propice pour connaître l’opulence matérielle, par la bonté de D.ieu, en supprimant les obstacles et les voiles, dans ce domaine. Et, puisse D.ieu faire que ceux qui ont adopté une attitude négative envers votre fils, du fait de sa barbe, cessent d’exercer des pressions sur lui.
Il est clair que l’on ne peut comparer la période où il n’avait pas encore de barbe à celle où, après l’avoir laissé pousser, il l’a coupée. Or, il la portait joyeusement et sans contrainte. Malheureusement, on assiste, en l’occurrence, au moins de manière passagère, à la réalisation du verset : “ Des mères miséricordieuses ont ébouillanté leurs enfants ”.
Que le D.ieu miséricordieux, Source de la pitié et de la bonté, mette un terme aux difficultés qui ont été suscitées de cette façon. Qu’à l’avenir, la situation de votre fils soit bonne, puis encore meilleure, y compris dans sa dimension matérielle. Conformément au dicton bien connu du Rabbi, “ il ira du bien vers le mieux ”.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,