Lettre n° 3351
Par la grâce de D.ieu,
17 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’obtenir de vos nouvelles par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav Chlomo Zalman Hecht. Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom et celui de tous les membres de votre famille près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une bonne santé et l’opulence matérielle.
Il est sans doute inutile de vous rappeler que, tout au long de l’année, le Saint béni soit-Il demande que l’on mette en pratique le Précepte “ Servez D.ieu dans la joie ”. Il faut donc se réjouir d’être un descendant d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov, du fait que “ vous êtes des enfants pour l’Eternel votre D.ieu ”. Nous avons le mérite que D.ieu accorde Sa Providence à chacun d’entre nous, à chaque époque et en tout endroit.
Lorsque l’on a l’honneur de se trouver dans la chambre d’un roi de chair et d’os, on en conçoit de l’inspiration et de la joie. Combien plus doit-il en être ainsi quand on est prêt du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il, comme l’explique longuement le chapitre 46 du Tanya.
Ceci nous conduit à une seconde idée. Lorsque l’on se trouve en compagnie du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il, on a conscience que rien ne peut être mauvais. En effet, nul d’autre que D.ieu ne possède le pouvoir. Parfois, survient un événement dont on ne perçoit pas le bien profond. Il faut dire, en pareil cas, que l’on n’a pas suffisamment médité à ce bien. Mais, au final, on peut vérifier que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”.
J’espère que ces quelques lignes suffiront pour vous suggérer une telle réflexion. Ainsi, vous parviendrez à placer votre confiance en D.ieu. Chaque Juif doit se raffermir en cette confiance, qu’il possède nécessairement, au moins de manière cachée. De la sorte, on sera réellement joyeux.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
17 Adar 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’obtenir de vos nouvelles par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav Chlomo Zalman Hecht. Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom et celui de tous les membres de votre famille près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une bonne santé et l’opulence matérielle.
Il est sans doute inutile de vous rappeler que, tout au long de l’année, le Saint béni soit-Il demande que l’on mette en pratique le Précepte “ Servez D.ieu dans la joie ”. Il faut donc se réjouir d’être un descendant d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov, du fait que “ vous êtes des enfants pour l’Eternel votre D.ieu ”. Nous avons le mérite que D.ieu accorde Sa Providence à chacun d’entre nous, à chaque époque et en tout endroit.
Lorsque l’on a l’honneur de se trouver dans la chambre d’un roi de chair et d’os, on en conçoit de l’inspiration et de la joie. Combien plus doit-il en être ainsi quand on est prêt du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il, comme l’explique longuement le chapitre 46 du Tanya.
Ceci nous conduit à une seconde idée. Lorsque l’on se trouve en compagnie du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il, on a conscience que rien ne peut être mauvais. En effet, nul d’autre que D.ieu ne possède le pouvoir. Parfois, survient un événement dont on ne perçoit pas le bien profond. Il faut dire, en pareil cas, que l’on n’a pas suffisamment médité à ce bien. Mais, au final, on peut vérifier que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”.
J’espère que ces quelques lignes suffiront pour vous suggérer une telle réflexion. Ainsi, vous parviendrez à placer votre confiance en D.ieu. Chaque Juif doit se raffermir en cette confiance, qu’il possède nécessairement, au moins de manière cachée. De la sorte, on sera réellement joyeux.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,