Lettre n° 3322
Par la grâce de D.ieu,
1er Adar 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yehouda Zeev(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, écrite à l’issue du Chabbat Michpatim, dans laquelle vous me dites que tout ce qui concerne la Yechiva se déroule de manière fructueuse.
A quelqu’un comme vous, il est inutile de souligner et de préciser ce que disent les Sages, “ Celui qui te dit ne pas avoir fait d’effort et avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas ”. Or, la logique indique que, quand le résultat est à la mesure de l’effort, on ne peut parler de réussite. Celle-ci doit décupler ce résultat.
Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi dans les trois domaines que sont les Mitsvot, la Torah précédée par une bénédiction, comme l’expliquent Rabbénou Yona(2) ou, plus précisément, le Baït ‘Hadach sur le Tour Ora’h ‘Haïm, chapitre 47, ce qui introduit le troisième domaine, la prière fervente.
De temps à autre, il faut méditer aux idées qui suscitent l’amour et la crainte de Celui Qui donne la Torah, comme l’expliquent le Tanya, à la fin du chapitre 41, “ de même, au milieu de la journée... ”. C’est également le cas pour un acte de divorce, en application du Précepte “ Ecarte-toi du mal ” ou pour le Séfer Torah(3), qui correspond à “ fais le bien ”. Et, il convient de le faire(4) “ au moins à chaque heure ”. Vous consulterez ce texte.
Le mérite public dépend de vous et de ceux qui vous viennent en aide. Vous guiderez vos élèves sur le chemin de la vie.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
Notes
(1) Le Rav Y. Z. Segal. Voir, à son sujet, la lettre n°2736.
(2) Le Rabbi note, en bas de page : “ On consultera Rabbénou Nissim, sur le traité Nedarim 81a ”.
(3) En rédigeant l’acte de divorce, on doit penser à la femme et à l’homme qui se séparent. De même, on doit écrire un Séfer Torah en pensant lui conférer la sainteté qui doit être la sienne.
(4) On méditera à tout cela.
1er Adar 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yehouda Zeev(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, écrite à l’issue du Chabbat Michpatim, dans laquelle vous me dites que tout ce qui concerne la Yechiva se déroule de manière fructueuse.
A quelqu’un comme vous, il est inutile de souligner et de préciser ce que disent les Sages, “ Celui qui te dit ne pas avoir fait d’effort et avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas ”. Or, la logique indique que, quand le résultat est à la mesure de l’effort, on ne peut parler de réussite. Celle-ci doit décupler ce résultat.
Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi dans les trois domaines que sont les Mitsvot, la Torah précédée par une bénédiction, comme l’expliquent Rabbénou Yona(2) ou, plus précisément, le Baït ‘Hadach sur le Tour Ora’h ‘Haïm, chapitre 47, ce qui introduit le troisième domaine, la prière fervente.
De temps à autre, il faut méditer aux idées qui suscitent l’amour et la crainte de Celui Qui donne la Torah, comme l’expliquent le Tanya, à la fin du chapitre 41, “ de même, au milieu de la journée... ”. C’est également le cas pour un acte de divorce, en application du Précepte “ Ecarte-toi du mal ” ou pour le Séfer Torah(3), qui correspond à “ fais le bien ”. Et, il convient de le faire(4) “ au moins à chaque heure ”. Vous consulterez ce texte.
Le mérite public dépend de vous et de ceux qui vous viennent en aide. Vous guiderez vos élèves sur le chemin de la vie.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
Notes
(1) Le Rav Y. Z. Segal. Voir, à son sujet, la lettre n°2736.
(2) Le Rabbi note, en bas de page : “ On consultera Rabbénou Nissim, sur le traité Nedarim 81a ”.
(3) En rédigeant l’acte de divorce, on doit penser à la femme et à l’homme qui se séparent. De même, on doit écrire un Séfer Torah en pensant lui conférer la sainteté qui doit être la sienne.
(4) On méditera à tout cela.