Lettre n° 3320
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Adar 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Moché Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Depuis bien longtemps, je n’avais reçu aucune lettre de votre part. J’ai donc été satisfait d’avoir au moins des nouvelles de vous et de votre famille par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Yossef Flyer.
J’ai appris également que vous avez participé à la réunion ‘hassidique du jour de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël(2). Vous savez(3) qu’une âme, au jour de sa Hilloula, s’élève du stade élevé dans lequel elle se trouve, vers un autre, qui l’est encore plus. Nos Sages disent qu’ils(4) ne connaissent pas le repos, s’élèvent d’une étape vers l’autre.
Or, tous ceux qui sont liés à lui le suivent, dans son élévation. Néanmoins, ils doivent forger les réceptacles pour cela, s’efforcer de la révéler dans leurs pensées, leurs paroles, leurs actions et surtout dans ces dernières, qui sont essentielles, ainsi qu’il est dit : “ Aujourd’hui, pour les accomplir ”.
Bien plus, nous vivrons bientôt “ les années pendant lesquelles on se dira…(5) ”, la période du Machia’h, comment l’expliquent, en particulier, le traité Chabbat 151b et le commentaire de Rachi, le Rambam, lois de la Techouva, chapitre 8, paragraphe 9 et fin des lois des rois, le Avodat Ha Kodech, tome 2, chapitre 38 et Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 26. Ce point ne sera pas développé ici.
D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela.
Il est bien évident que tout ceci s’applique à chacun et à chacune des ‘Hassidim qui ont la possibilité d’agir. A notre époque, en particulier, il s’agit là d’une obligation personnelle.
Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch. Voir, à son sujet, la lettre n°2773.
(2) Le 10 Chevat.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°3249.
(4) Les Sages qui se trouvent dans le Gan Eden.
(5) Que l’on n’a pas pleinement accompli ce qui aurait dû être fait, pendant le temps de l’exil.
1er jour de Roch ‘Hodech Adar 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Moché Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Depuis bien longtemps, je n’avais reçu aucune lettre de votre part. J’ai donc été satisfait d’avoir au moins des nouvelles de vous et de votre famille par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Yossef Flyer.
J’ai appris également que vous avez participé à la réunion ‘hassidique du jour de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël(2). Vous savez(3) qu’une âme, au jour de sa Hilloula, s’élève du stade élevé dans lequel elle se trouve, vers un autre, qui l’est encore plus. Nos Sages disent qu’ils(4) ne connaissent pas le repos, s’élèvent d’une étape vers l’autre.
Or, tous ceux qui sont liés à lui le suivent, dans son élévation. Néanmoins, ils doivent forger les réceptacles pour cela, s’efforcer de la révéler dans leurs pensées, leurs paroles, leurs actions et surtout dans ces dernières, qui sont essentielles, ainsi qu’il est dit : “ Aujourd’hui, pour les accomplir ”.
Bien plus, nous vivrons bientôt “ les années pendant lesquelles on se dira…(5) ”, la période du Machia’h, comment l’expliquent, en particulier, le traité Chabbat 151b et le commentaire de Rachi, le Rambam, lois de la Techouva, chapitre 8, paragraphe 9 et fin des lois des rois, le Avodat Ha Kodech, tome 2, chapitre 38 et Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 26. Ce point ne sera pas développé ici.
D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela.
Il est bien évident que tout ceci s’applique à chacun et à chacune des ‘Hassidim qui ont la possibilité d’agir. A notre époque, en particulier, il s’agit là d’une obligation personnelle.
Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch. Voir, à son sujet, la lettre n°2773.
(2) Le 10 Chevat.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°3249.
(4) Les Sages qui se trouvent dans le Gan Eden.
(5) Que l’on n’a pas pleinement accompli ce qui aurait dû être fait, pendant le temps de l’exil.