Lettre n° 3314
Par la grâce de D.ieu,
29 Chevat 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre, avec ce qu’elle contenait. Lorsque je me suis rendu, ce jour, à la veille du Roch ‘Hodech du mois où l’on multiplie sa joie(1), près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, j’ai également mentionné les noms figurant dans vos listes. Puisse D.ieu faire que tous soient bénis, en tous leurs besoins, matériels et spirituels.
Vous parlez d’un bon Mikwé et il est sûrement inutile de vous expliquer à quel point celui-ci est important. Tout effort nécessaire, en la matière, est donc justifié. Et, j’ai bon espoir que vous agirez, avec empressement et enthousiasme, que vous le ferez au plus vite(2). Il serait bon d’écrire encore une fois, à ce sujet, au Rav Deutsch, de Cleveland(3). Vous lui soulignerez de nouveau la nécessité de réduire les dépenses.
Vous parlez du jardin d’enfants et vous dites qu’à votre avis, on ne voit pas encore comment une Yechiva élémentaire pourra en résulter. Néanmoins, qui sait ? On doit faire tout ce qui est possible et il est dit que “ Avraham était unique ”. Or, il est également affirmé que “ sa descendance héritera de toute la terre ”.
En conséquence, je ne suis pas satisfait d’apprendre que vous craignez de rester dans l’endroit où vous vous trouvez maintenant depuis un certain temps déjà, à cause du problème posé par vos enfants(4). Concrètement, il est inévitable que cette crainte affaiblisse l’enthousiasme que vous apportez à assumer votre mission sacrée, dans votre ville.
Même si cette crainte était justifiée, même s’il était clair que vous deviez abandonner cette ville, vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel on édifiait le Sanctuaire(5), de la manière la plus complète et la plus précise, également dans les étapes où l’on ne passait qu’un jour et qu’une nuit. On peut l’établir, à partir de la fin du chapitre 25 du Tanya, soulignant que “ cette unification(6), là-haut, est éternelle et immuable ”.
Il faut, en particulier, raffermir sa confiance en D.ieu. De la sorte, très prochainement, la situation pourra évoluer positivement. Vous aurez le mérite et la réussite de bâtir une éducation bonne et sainte, dans votre ville.
J’ai été content de lire, à la fin de votre lettre, que l’affaire de votre beau-frère se développe, qu’il observe maintenant la bénédiction que vous avez reçue. Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité d’attirer son attention sur le fait suivant. Quand on observe les bénédictions de D.ieu satisfaisant tous les besoins, on doit comprendre l’allusion et renforcer les canaux et les réceptacles permettant de les obtenir, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. Vous consulterez également Iguéret Hakodech, de l’Admour Hazaken, au paragraphe commençant par “ J’ai ressenti ma petitesse ”.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous donniez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Si votre correspondance avec le grand Rav Deutsch a des conséquences positives, vous voudrez bien me le faire savoir. Je vous en remercie d’avance.
Notes
(1) Celui d’Adar.
(2) Textuellement “ un moment plus tôt ”.
(3) Voir, à son sujet, les lettres n°2992 et 3189.
(4) Vraisemblablement celui de leur éducation.
(5) Voir, à ce sujet, la lettre n°3067.
(6) Réalisée par l’étude de la Torah.
29 Chevat 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre, avec ce qu’elle contenait. Lorsque je me suis rendu, ce jour, à la veille du Roch ‘Hodech du mois où l’on multiplie sa joie(1), près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, j’ai également mentionné les noms figurant dans vos listes. Puisse D.ieu faire que tous soient bénis, en tous leurs besoins, matériels et spirituels.
Vous parlez d’un bon Mikwé et il est sûrement inutile de vous expliquer à quel point celui-ci est important. Tout effort nécessaire, en la matière, est donc justifié. Et, j’ai bon espoir que vous agirez, avec empressement et enthousiasme, que vous le ferez au plus vite(2). Il serait bon d’écrire encore une fois, à ce sujet, au Rav Deutsch, de Cleveland(3). Vous lui soulignerez de nouveau la nécessité de réduire les dépenses.
Vous parlez du jardin d’enfants et vous dites qu’à votre avis, on ne voit pas encore comment une Yechiva élémentaire pourra en résulter. Néanmoins, qui sait ? On doit faire tout ce qui est possible et il est dit que “ Avraham était unique ”. Or, il est également affirmé que “ sa descendance héritera de toute la terre ”.
En conséquence, je ne suis pas satisfait d’apprendre que vous craignez de rester dans l’endroit où vous vous trouvez maintenant depuis un certain temps déjà, à cause du problème posé par vos enfants(4). Concrètement, il est inévitable que cette crainte affaiblisse l’enthousiasme que vous apportez à assumer votre mission sacrée, dans votre ville.
Même si cette crainte était justifiée, même s’il était clair que vous deviez abandonner cette ville, vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel on édifiait le Sanctuaire(5), de la manière la plus complète et la plus précise, également dans les étapes où l’on ne passait qu’un jour et qu’une nuit. On peut l’établir, à partir de la fin du chapitre 25 du Tanya, soulignant que “ cette unification(6), là-haut, est éternelle et immuable ”.
Il faut, en particulier, raffermir sa confiance en D.ieu. De la sorte, très prochainement, la situation pourra évoluer positivement. Vous aurez le mérite et la réussite de bâtir une éducation bonne et sainte, dans votre ville.
J’ai été content de lire, à la fin de votre lettre, que l’affaire de votre beau-frère se développe, qu’il observe maintenant la bénédiction que vous avez reçue. Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité d’attirer son attention sur le fait suivant. Quand on observe les bénédictions de D.ieu satisfaisant tous les besoins, on doit comprendre l’allusion et renforcer les canaux et les réceptacles permettant de les obtenir, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. Vous consulterez également Iguéret Hakodech, de l’Admour Hazaken, au paragraphe commençant par “ J’ai ressenti ma petitesse ”.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous donniez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Si votre correspondance avec le grand Rav Deutsch a des conséquences positives, vous voudrez bien me le faire savoir. Je vous en remercie d’avance.
Notes
(1) Celui d’Adar.
(2) Textuellement “ un moment plus tôt ”.
(3) Voir, à son sujet, les lettres n°2992 et 3189.
(4) Vraisemblablement celui de leur éducation.
(5) Voir, à ce sujet, la lettre n°3067.
(6) Réalisée par l’étude de la Torah.